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Au Président de la République, Mr Abdelmadjid TEBBOUNE
5 octobre 2020

DIFFAMEE ET INSULTEE POUR AVOIR FAIT PRENDRE A UN C.S.F (1) TROIS POSITIONS DONT LA PLUS DIGNE DE TOUTE SON HISTOIRE.

Un Recteur complice d’auteurs de crimes académiques ? : I

04 octobre 2020

Lettre ouverte à Monsieur le Ministre de l’ESRS

S/couvert du Secrétaire général du Ministère

S/couvert du Directeur central de la Pédagogie

S/couvert du Président de la CRUO.

 

                Monsieur Le Ministre,

            J’ai l’honneur de vous prier de bien vouloir vous pencher sur l’écrit ci-dessous, et qui est directement lié au CRIME DOCTORAL au sujet duquel je viens de vous adresser cinq correspondances.

Veuillez agréer, Mr Le Ministre, l’expression de ma haute considération.

Mme Fatima Tlemsani : Faculté SHS, UDL.


§1. La décision la plus digne de toute l’histoire du CS de la Faculté des SHS[2].

27 février 2020 : J’ai réussi à faire prendre au CSF la position la plus digne de toute son histoire, la défense (la plus radicale et la plus vraie) de l’Université et de la qualité de la formation en rejetant une série de criminels projets de direction de thèses[3]

Décision d’autant plus exceptionnelle que le CSF est dominé par des Collègues qui auraient préféré me fusiller plutôt que d’avoir à la prendre[4]. Quant au Doyen[5], comme à chaque réunion, il n’a pas pu s’empêcher de me dire : « Mme, tous les problèmes que vous nous posez sont des problèmes essentiels (machakils jawhariya) !».

§2. Les deux autres salvatrices décisions que j’ai fait prendre par le CSF (le même jour).

1) Rejet du projet de réouverture de l’ex mascarade déguisée par Mr MANSOURI en master de Psychologie clinique de la famille[6] (projet de Mr MANSOURI usant d’un prête-nom).

2) Rejet d’un autre crime déguisée par Mr HABAL (usant d’un prête-nom) en projet d’ouverture d’une licence en psychologie scolaire. Criminel projet qui n’a eu l’accord du CS du département que parce que Mr HABAL a poussé le mensonge jusqu’à déclarer qu’on a six enseignants diplômés dans cette spécialité, alors qu’on n’en a aucun.

§3. Détails de la collection de crimes académiques composant le Crime doctoral que j’ai déjà dénoncé.

Lien 1     http://udlcrimacademic.canalblog.com/archives/2020/09/25/38554297.html

Lien 2     http://udlcrimacademic.canalblog.com/archives/2020/09/26/38556000.html  

Lien 3    http://udlcrimacademic.canalblog.com/archives/2020/09/27/38557485.html    

Lien 4    http://udlcrimacademic.canalblog.com/archives/2020/09/29/38561158.html

Lien 5    http://udlcrimacademic.canalblog.com/archives/2020/09/30/38563581.html

§4. Dès la fin de la réunion : Crise hystérique contre moi en plein bloc administratif de la faculté

Le même jour, alors que j’étais en route vers chez moi (hors wilaya de SBA) : En plein bloc administratif de la Faculté, Mr MANSOURI hurle en proférant diffamations, mensonges et insultes à mon encontre. En particulier, il hurle que j’ai trahi la confiance des collègues qui m’ont élue au CSF et appelle à une coalition pour m’en chasser. Mr HABAL le soutient, l’encourage et participe à ces propos et à cet appel.

§5. Récidive et aggravation du délit par l’usage de l’hyper-médiatique Facebook.  

29 février : Il récidive et aggrave son délit en le commettant par  écrit, sur la toile du web et sur le célébrissime FACEBOOK, lequel est plus puissant que la presse et les médias traditionnels pour propager l’information (et désinformation) qu’on veut propager. De plus, avec statut ‘’Public’’, comme si les plus de 3.000 amis du diffameur (dont beaucoup de collègues et des centaines de nos étudiants) et les amis de ces 3.000 amis ne suffisaient pas à me salir sur la place publique.

§6. Extrême gravité des propos tenus contre moi (sur Facebook).   

D1- Je ne mérite qu’un SIXIEME de doctorat au mieux. Cette diffamation s’exprime non seulement dans le contenu du texte, mais aussi par l’image (cercle avec isolement d’un sixième de sa surface et la mention « 1/6 »)  et dans le titre.

D1bis. Si j’étais honnête, j’aurais déchiré mon diplôme de doctorat tellement je ne le mérite pas.

D2- J’encaisse un salaire d’enseignant-chercheur que je ne mérite pas puisque le diffameur écrit que je n’assure ni enseignement, ni encadrement de mémoire ni activité scientifique.

D3- Je m’attaque et nuis aux collègues dont le seul but est d’assurer le mieux possible leur missions d’enseignants-chercheurs –et de se consacrer, corps et âme, à servir le monde de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.

D4- Le diffameur est aidé par ALLAH dans son dévouement à la science et à l’intérêt général, ce qui  laisse penser que je me destine (moi qui combats ce dévouement) aux flammes de l’Enfer.

D5- Les propos que je tiens sont pareils aux aboiements des chiens[7].

Ma réponse en une phrase :

J’ECRASE Mr MANSOURI PAR MES COMPETENCES ACADEMIQUES, PAR MA MORALE ET PAR LE DEVOUEMENT AVEC LEQUEL  J’ASSURE LA FONCTION POUR LAQUELLE JE REÇOIS MON SALAIRE.

§7. Nouvelle récidive et nouvelle aggravation par l’usage d’un blog de chercheur (imaginaire).

03 mars : Le diffameur persiste et signe en publiant toutes ses agressions verbales, aussi, sur un blog qu’il s’est offert en tant que chercheur (imaginaire).

En outre, il y a publié sa collection de diffamations, d’insultes et de mensonges en la faisant passer pour une contribution scientifique.

§8. Participation de l’hyper-nullité universitaire Hana BOUHARA à l’agression.

Dès que Mr MANSOURI a  commis son odieux acte sur Facebook, Mme Hana BOUHARA (lien 3 ci-dessus) entre en scène. Comme si elle était devant son appareil n’attendant que cette ignoble et délictuelle publication, elle saute de joie en cliquant sur J’ADORE.

Ne se contentant pas de ce 1er délit, elle va plus loin en participant plus activement à la diffamation et aux insultes : Elle commente et en commentant, elle a prouvé, elle-même, que sa place était plus dans une écurie que dans le statut (vertigineusement immérité) d’enseignant-chercheur.

§9. Généreuse victime.  

Au lieu de le traduire en justice et le faire condamner[8], je ne l’ai pas fait (après qu’un membre de ma famille m’ait prié de ne pas traduire un collègue devant les tribunaux).

Ceci étant, et seulement après avoir pris note d’un effarant, irresponsable et justiciable mutisme, j’ai saisi le Ministre de l’ESRS par une lettre ouverte[9] l’accusant de ce qui suit : 1) Il assure un cours doctoral dans lequel il est un analphabète ; 2) il s’est fait prévoir pour diriger deux thèses où il brille par son incompétence ; 3) « Je le défie de pouvoir me parler durant cinq minutes (sans balbutier) de psycho positive » laquelle est au cœur de ma Thèse (qu’il a qualifiée de 1/6 de thèse).

§10. Comment un ignoble agresseur poursuit en justice sa généreuse victime.        

Incapable de me répondre, vu l’incontestable vérité de mes propos, le déficient intellectuel me poursuit en justice pour diffamation. Etrangement, il ne m’envoi pas la convocation judiciaire à mon domicile. Etrangement, je n’en prends connaissance que quelques mois après la date prévue de l’audience. Secrètement, la plainte judiciaire m’accuse mensongèrement de bout en bout.

§11. Rétraction de l’auteur de la débile et mensongère plainte judiciaire, et ma persistante générosité.

On m’a dit que mon agresseur s’est rétracté après avoir compris ce qu’il risquait avec une telle plainte : Plainte pour diffamation mais déposée contre une victime que lui-même a si puissamment diffamée et qui n’a fait que répondre en dénonçant quelques-uns de ses crimes académiques. Il l’a compris d’autant plus vite que ceci était aggravé par le fait que ses accusations étaient d’une  fausseté immédiatement vérifiable.

Même poursuivie pour diffamation par mon diffameur, j’ai maintenu ma décision de lui faire éviter une condamnation judiciaire. J’ai persisté dans cette générosité, même après avoir découvert l’absolue fausseté de ce dont il m’a accusée.

      F. Tlemsani.                                                                  


[1] Conseil scientifique de faculté.  Faculté des SHS (sciences humaines et sociales), Université de SBA).

[2] CSF de la Faculté des sciences humaines et sociales.

[3] Décision déshonorablement annulée à la dernière rentrée de septembre.  

[4] Autant mon entrée au CSF a été vécue comme un séisme par le Doyen et son groupe, autant Mrs HABAL et MANSOURI  (les 2 patrons de la criminelle formation doctorale) sont 2 grands protégés du Doyen  (et 2 bras par lesquels il réalise sa destructrice gestion du département SS).

[5] Le Doyen  a dû vivre comme un 2° séisme cette décision pour laquelle il m’a quasiment remerciée.

[6] Un ex master que le Ministère a fini par fermer, après avoir décidé de mettre un certain terme à  l’ex carnaval des masters. Mr MANSOURI  a voulu le rouvrir, avec un prête-nom et sous la forme Professionnelle. 

[7] D’autres attaques s’y ajoutent : une collègue aurait été hypocrite, opportuniste et non-reconnaissante jusqu’à l’immoralité. J’ai été scandalisée en pensant qu’il parlait de moi, avant d’apprendre qu’il s’agit d’une autre collègue (il a été membre du jury de sa Thèse). Quant à moi, j’aurais souffert d’avoir à vivre avec le souvenir  d’avoir bénéficié du plus minuscule service que cet ignoble Mr aurait rendu.

[8] Pour ébruiter plus ses crimes académiques, le donner comme exemple aux gens de son espèce et obtenir justice.

[9] Mars 2020.

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T
Merci à tous ceux et toutes celles qui m'ont soutenue en cliquant sur J'AIME.
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Au Président de la République, Mr Abdelmadjid TEBBOUNE
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