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Au Président de la République, Mr Abdelmadjid TEBBOUNE
8 octobre 2020

LE RECTEUR DE L’UDL EST-IL COMPLICE DE L’INCOMPETENT (académique), TRICHEUR (juridique) ET DELINQUANT (misogyne) Z. MANSOURI ?

                                         

Un Recteur complice d’auteurs de crimes académiques ? : II

08 octobre 2020

Lettre ouverte à Monsieur le Ministre de l’ESRS

S/couvert du Secrétaire général du Ministère

S/couvert du Directeur central de la Pédagogie

S/couvert du Président de la CRUO.

 

                Monsieur Le Ministre,

 J’ai l’honneur de vous adresser l’écrit ci-dessous et qui suit le dernier texte que je vous ai fait parvenir : DIFFAMEE ET INSULTEE POUR AVOIR FAIT PRENDRE A UN C.S.F (1) TROIS POSITIONS DONT LA PLUS DIGNE DE TOUTE SON HISTOIRE*, lequel est directement lié au CRIME DOCTORAL au sujet duquel je vous ai adressé cinq écrits depuis le 25 septembre.

Veuillez agréer, Mr Le Ministre, l’expression de ma haute considération.

Mme Fatima Tlemsani: Faculté SHS, UDL.

http://udlcrimacademic.canalblog.com/archives/2020/10/05/38571704.html    


§12. Ma multiple requête du 1er mars, adressée à un Recteur extraordinairement non-concerné.

Le 1er mars, j’informe le Recteur : 1) du grave délit dont j’avais été victime le 27 février ; 2) de son aggravation par la récidive du 29 février (facebook) ; 3) du fait que j’en avais été victime en tant que membre du CSF ; 4) pour trois décisions que j’ai fait prendre à ce dernier ; 4) décisions qui sont des plus salvatrices que ledit CSF pourrait avoir à prendre ; 5) et principalement, pour la décision prise contre la désormais célèbre mascarade doctorale.

J’y ajoute que mon agresseur est, lui-même, titulaire d’une MAHZALA déguisée en doctorat, et vu qu'il n’a nulle compétence dans ce qu’il a choisi de diriger dans la criminelle formation doctorale (cours et thèses), je demande son retrait[1].  

Pour seule réponse, le Recteur délèguera (mais en extrême urgence) un Collègue pour me dire qu’il ne peut rien faire. Ainsi, il va jusqu’à ‘’oublier’’ que le très strict  minimum que la LOI lui impose dans une telle affaire, est d’actionner le Conseil de discipline que lui-même préside.

§13. Ma très PESANTE demande disciplinaire contre le délinquant MANSOURI :   10 mars.

Vu le silence du Recteur et vu la 2e récidive[2], je demande la traduction du délinquant en Conseil de discipline. Mais, alors que ma demande est on ne peut plus lourdement et explicitement fondée*, le Recteur persiste dans son statut de ‘’non-concerné’’.   

* :  http://udlcrimacademic.canalblog.com/archives/2020/10/05/38571704.html 

§14. Scandaleux 1er rappel par la révoltante plainte judiciaire déposée contre moi : 15 mars. 

1er rappel de ma demande disciplinaire car en plus du fait que la plainte judiciaire a été déposée par mon agresseur et contre moi, la convocation m’a été envoyée à l‘Université[3] (non à mon domicile). Ce rappel est scandaleux car la plainte est révoltante : mon diffameur m’accuse de l’avoir diffamée, et il le fait alors que c’était à moi de  le poursuivre en justice et alors que j’avais décidé de lui épargner une condamnation pénale. Le Recteur demeure silencieux.

§15. Accentuation et 2e rappel par mon ajout d’un complément de trois pages : 22 mars.

Le 22 mars, par trois nouvelles pages, j’accentue le poids de ma demande disciplinaire, face à un Recteur de plus en plus fascinant par son mutisme.

§16. 3e rappel par ma demande disciplinaire contre la délinquante Hana BOUHARA : 15 avril.

Le 15 avril, je demande la traduction disciplinaire de Mme BOUHARA, d’où le 3e rappel de la demande datée du 10 mars et annoncée dès le 1er mars : Cette dame n’a fait qu’adorer (sur facebook), encourager et compléter les insultes, diffamations et mensonges de Mr MANSOURI.                                                          

§17. 4e, 5e et 6e rappels par demandes de deux autres collègues contre les mêmes Mr MANSOURI et Mme BOUHARA

En avril, à mes demandes, trois demandes se sont ajoutées, deux contre le même Mr MANSOURI et une (au moins) contre son émerveillée Mme BOUHARA. Les auteurs en sont deux collègues femmes (d’où le fait de juger mon agresseur de délinquant misogyne) qui sont concernées[4] par les propos partagés sur facebook.   

§18. Colossal 7e rappel par mon explosive requête du 28 juin.

Le 28 juin, toujours et encore au Recteur, j’ai adressé un écrit intitulé 

   NON AU MASSACRE DU NOUVEAU DEPARTEMENT DE SCIENCES DE L’EDUCATION :

CARNAVALS A L’UDL AU TEMPS DES HISTORIENS-CULTURALISTES POPULAIRES ET DES FAUX PSYCHOLOGUES CLINICIENS.

Cette requête résume mes cinq publications[5] faites sur le Blog[6]’Scandaleuse Université Djilali Liabès’’ (CANALBOG, du 25 au 30.09.2020) et dénonçant le désormais assez célèbre Crime doctoral. J’ajoute que cette collection de crimes n’est qu’une partie des crimes académiques dénoncés dans cet écrit envoyé au Recteur il y a déjà plus de cent jours. 

Pour revenir à ma demande disciplinaire, en ne retenant que ce qu’il dit de Mr MANSOURI, cet explosif écrit a de quoi éclabousser[7] l’Université de Sidi Bel Abbès et certains de ses responsables.

Le Recteur continue à ne pas répondre et à attendre –je ne sais quoi !!!!- pour convoquer le Conseil de discipline qui, en ce 28 juin, aurait dû s’être déjà réuni et avoir déjà pris les indispensables et incontournables sanctions.

§19. Ma 2e demande disciplinaire contre Mr MANSOURI et 8e fort rappel de la 1ère : 17 aout.

Face aux fausses accusations dont je suis l’objet dans la plainte judiciaire de mon diffameur et pour diffamation –comble de l’ironie, de la débilité ou de la crapulerie ?-, je dépose une seconde demande disciplinaire contre l’ignoble plaignant.

Le 20 aout, après huit rappels et une demande contre un nouveau délit, le Recteur fait le minuscule geste de me faire parvenir un message disant que les dossiers seraient entre les mains du Conseil de discipline. J’y réponds en le priant de me confirmer par écrit ce message envoyé oralement, avec plus de cinq mois de retard et via une chaine de deux Collègues. Près de cinquante jours après cette dernière demande, le Recteur n’a toujours pas confirmé.

§20. Quelques incontestables certitudes.

Sept mois après ma 1ère (très lourde) demande, et malgré huit rappels, le Recteur a commis pire que s’être abstenu –à ce jour- de donner la plus minuscule réponse, pas même un minuscule  « vos demandes ont bien été reçues » : Il n’a toujours pas saisi le Conseil de discipline (la CP).

Les protecteurs de Mr MANSOURI ont d’abord été presque certains que j’allais quitter ‘’LEUR’’ université[8] (l’UDL). Puis voyant que je ne partais pas et que, de plus, je continuais à rappeler et à accentuer mes demandes, ils se sont mis à contacter des collègues (l’un après l’autre) en les priant d’essayer de me convaincre du grand geste FRATERNEL[9] que je ferais en pardonnant[10] à Mr MANSOURI et en retirant mes demandes disciplinaires.

Mr MANSOURI est tellement protégé qu’il se permet le luxe de maintenir jusqu’à aujourd’hui, 08 octobre 2020, ses diffamations, mensonges et insultes[11] sur FACEBOOK et sur son blog de chercheur (imaginaire) :

https://www.facebook.com/photo.php?fbid=2944153842312139&set=a.135775739816644&type=3&eid=ARBsj-tgi_E4HImQuTS8eT0I6eoD1W8qp1bG83J1Mw_7cY227fOtDkEdORTilj0QonhloMa-GN2BRgNs

https://psysba.com/blog/2020/03/03/%d8%b3%d8%af%d8%b3-%d8%b4%d9%87%d8%a7%d8%af%d8%a9-%d8%a3%d9%88-%d8%a3%d9%82%d9%84/

F. TLEMSANI.


[1] Retrait qui aurait diminué le poids du Crime doctoral en question.

[2] Partage (par mon agresseur) des diffamations, insultes et mensonges sur son blog (après  Facebook). 

[3] Elle arrive le 15 mars. L’Université la reçoit, en signe l’accusé de réception et (curieusement) ne m’en informe que longtemps après la date prévue de l’Audience judiciaire.

[4] Un très lourd  propos ne concerne que l’une des deux, celle dont Mr MANSOURI a été membre du jury de la thèse de Doctorat ; celle qui, grâce à mon intervention au CSF et non pas à la règlementation, a été sauvé du  rapport négatif qui a été fait sur son manuel pédagogique lié à l’habilitation (une Dame que j’ai, en outre, défendue à plusieurs reprises en usant de la collégialité et non du Droit).

[5]   

http://udlcrimacademic.canalblog.com/archives/2020/09/25/38554297.html

http://udlcrimacademic.canalblog.com/archives/2020/09/26/38556000.html

http://udlcrimacademic.canalblog.com/archives/2020/09/27/38557485.html                          

http://udlcrimacademic.canalblog.com/archives/2020/09/29/38561158.html

http://udlcrimacademic.canalblog.com/archives/2020/09/30/38563581.html

A propos de Mme Hana BOUHARA (3e lien), toutefois, ce courrier du 28 juin, se contente de ceci : « Un dernier cas différent mais tout aussi scandaleux (Mme BOUHARA) », et ce, pour ne trop allonger l’écrit en question.

[7] Le moins que l’on puisse dire.

[8] Départ qui aurait conduit à un certain abandon, d’une façon ou d’une autre, de mes demandes disciplinaires.

[9] La fraternité contre l’Université, contre la qualité de la formation et contre le minimum d’éthique.

[10] En cherchant à savoir pourquoi aucune des deux Collègues du §17 n’a reçu la moindre prière en ce sens j’ai entendu dire que le Recteur n’accorderait pas d’importance aux écrits de ces deux Dames et que son problème est moi.

[11] Il les maintient par mégalomanie associée à de la misogynie (afin qu’on ne puisse y voir ni la preuve d'une crainte ni la preuve d'une défaite), et il se permet ce luxe car il est certain d’être hautement protégé. (Mais Il se fait petit lorsqu’il me croise).

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Commentaires
T
Merci à tous les lecteurs et à toutes les lectrices qui ont mis un J'AIME sur cette publication.
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Au Président de la République, Mr Abdelmadjid TEBBOUNE
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