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Au Président de la République, Mr Abdelmadjid TEBBOUNE
15 octobre 2020

LA GRAVISSIME ET SILENCIEUSE OPPOSITION DU RECTEUR A MON COMBAT CONTRE LE MULTIPLE CRIME DOCTORAL DE PSYCHOLOGIE.

Un Recteur complice d’auteurs de crimes académiques ? : III

15 octobre 2020

Lettre ouverte à Monsieur le Ministre de l’ESRS

S/couvert du Secrétaire général du Ministère

S/couvert du Directeur central de la Pédagogie

S/couvert du Président de la CRUO.

 

                Monsieur Le Ministre,

         J’ai l’honneur de vous adresser, par la présente, la 3° partie de la série Un Recteur complice d’auteurs de crimes académiques ?, laquelle série est directement liée à celle intitulée Crime doctoral à l’Université Djilali Liabès et fait partie de Scandaleuse Université Djilali Liabès.

Veuillez agréer, Mr Le Ministre, l’expression de mes salutations distinguées.

Mme Tlemsani Fatima: Faculté des SHS de l'UDL.


§21. Pressentiment d’une victoire inachevée remportée lors du CSF du 27 février.

L’université de SBA, sa faculté des SHS, la qualité de la formation et la filière Psychologie avaient remporté trois victoires, une pour chacune des trois salvatrices décisions que j’ai fait prendre au CSF le 27 févier 2020 :

D1 :   Rejet de criminels projets de direction de thèses de doctorat en Psycho.

D2 :   Rejet du projet d’un  fiasco déguisé en licence de Psycho scolaire.

D3 :   Rejet du projet d’une 2e mascarade déguisée en master de Psycho clinique de la famille.

Mais j’ai vite pressenti que D1 allait être remise en cause. Le fait est que certains membres du CSF votent en tant que clan du Doyen, et ce dernier a voté D1 alors que les plus attaqués par ce même D1 (et par[1] D2 et D3) sont de son clan (hors CSF), dont son fils spirituel  HABAL[2] et le déjà célèbre Mr Zouaoui MANSOURI. Pire encore, le Doyen m’a encore félicité de poser, toujours, des « machakils jawhariya »[3].

§22. Confirmation immédiate du pressentiment de victoire inachevée.

A la fin de la réunion, le Doyen quitte la salle et la faculté précipitamment, préoccupé et tél à la main, et ce, alors qu’il avait des papiers à signer en toute urgence. Il quitte la fac pour revenir un peu plus tard et juste pour des signatures lui prenant quelques minutes. Il est vu en grande discussion avec Mrs MANSOURI et HABAL, lesquels, vers 16h, seront au bloc administratif où le 1er, aidé et encouragé par le 2e, piquera sa crise hystérique contre moi (et en mon absence).

Ainsi, à peine la réunion finie, ces deux Mrs ont plus que le détail d’un PV qui ne sera signé que 11 jours après. Ils savent, aussi, que je suis derrière chacune des trois décisions.

§23. Faut-il une voyante pour accuser le Doyen d’être derrière mon agression du 27 février ?  

Les quatre attaqués[4] par les trois D sont du clan du Doyen qui m’a (!) remercié pour ces mêmes trois D : Des gens voulant avancer dans la carrière sur du vide académique, en se mettant dans la Cour du Doyen MEDJAOUD. C’est ce qui explique les faits relatés dans §22.

Ceci étant, faut-il consulter une voyante pour pouvoir accuser ce Doyen d’être derrière cette agression orale qui n’est que le début de ce qu’on m’a déjà fait payer pour les trois salvatrices décisions (et surtout pour D1) ? :

http://udlcrimacademic.canalblog.com/archives/2020/10/05/38571704.html

Et ce dernier écrit ne relate qu’une partie de ce que j’ai déjà payé.

§24. Sept mois à attendre que le Recteur fasse le plus petit geste pour défendre son Université.

Dès le 1er mars, j’ai prié du Recteur d’imposer un strict minimum de niveau académique et d’éthique dans la criminelle formation doctorale dirigée par Mr HABAL. De cette date au 17 aout, je l’ai saisi pas moins de six fois. Le 28 juin, je lui écris six pages qui auraient effaré et scandalisé[5] tout Recteur non informé de ce qu’il lit et soucieux de son université et de la qualité de la formation qu’elle offre.  

Tous ces écrits, tout cet effort, tout cet engagement (si risqué) et toute cette attente ont été en vain, face à un Recteur décidé à faire la sourde oreille. 

§25. Légalisation, grâce au Recteur, du multiple crime doctoral : Un CSF qui se déshonore[6].  

Mon argumentation contre ce multiple crime doctoral est si incontestable que (le 27  février) D1 a été votée à l’unanimité et que le Doyen a été l’un des deux 1° à la voter. Le Doyen m’en a remercié[7] alors qu’il est le chef de file des partisans dudit crime et son 1er auteur implicite. Cette unanimité est due à la peur des suites que je pouvais donner à l’affaire, et à la crainte que le Recteur lui-même finisse par quitter le bateau et par se retourner contre ses protégés.  

Durant sept mois, j’ai attendu que le Recteur réagisse. Au terme de ces sept mois (et alors que je n’ai presque pas ébruité[8] l’affaire), le camp du Doyen a fini par être certain que le Recteur n’a pas changé de camp, et a pu se dire ceci : « Si malgré tout ce que Mme Tlemsani lui a écrit, il continue à nous laisser faire, la raison en est qu’il est lui-même protégé au Ministère[9] ».

C’est ainsi qu’après sept mois de crainte, ce clan a repris des forces et a fait annuler par le CSF, le 28 septembre, une décision que le même CSF a prise –et à l’unanimité !- le 27 février. Un CSF d’autant plus déshonoré que rien de nouveau n’est venu justifier ce revirement à 180 °, rien à l’exception du maintien du soutien rectoral.

 F. Tlemsani.


[1] D2 rejette un projet de Mr HABAL usant d’un prête-nom. D3 rejette la copie d’une ancienne mascarade de Mr MANSOURI passant d’un master académique à un master professionnel.   

[2] Lequel fils est surtout l’un des principaux bras par lesquels le doyen assure sa gestion privative. 

[3] A chaque réunion du CSF, depuis que j’en suis membre, le doyen déclare « Mme, tous les problèmes que vous posez sont des problèmes essentiels ». Jamais cette déclaration n’a été aussi inquiétante qu’en ce 27 février.de la Faculté.

[4] Mr HABAL est le patron de toute la criminelle formation doctorale (FD). Lui-même, Mr MANSOURI, Mme ABDERRAHIM et Mme BOUHARA y dirigent sept (7) Thèses sur neuf (9) et le plus gros des enseignements les plus importants. Dans rien de tout ceci, aucun des quatre n’est à sa place.

[6] Toutefois, je tiens à dire que le Président dudit CSF, Mr CHEKHOUM, a eu une honorable position.

[7] Voir note 2 ci-dessus.

[8] Hormis un petit geste en mars, je n’ai commencé à dénoncer par des publications, le 25 sept, qu’après avoir pressenti la déshonorante annulation du 28 sept.

[9] Je ne dis point que Mr MEGACHOU est protégé au Ministère. Je dis que ses protégés peuvent s’être dit ceci.

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