LE MINISTRE DE L’ESRS PROTEGE-T-IL UN RECTEUR ENCOURAGEANT LA DELINQUANCE CONTRE LES DEFENSEURS DE LA QUALITE DE LA FORMATION ?
Goutte faisant déborer de vase.
[Recteur encourageant la délinquance contre les défenseurs de la qualité de la formation : I]
05 novembre 2020.
Lettre ouverte à Monsieur le Ministre de l’ESRS
S/couvert de Madame et de Messieurs
l’Inspectrice pédagogique, l’Inspecteur Général, le Directeur Central des Ressources humaines et le Directeur Central des Enseignements.
Monsieur le Ministre,
J’ai l’honneur de vous prier de bien vouloir vous pencher sur l’écrit ci-dessous et qui est le 15e d’une collection ne comptant que ceux postérieurs au 24 septembre.
Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de mes salutations distinguées.
Mme Fatima TLEMSANI : Faculté SHS, UDL.
§1. 1er contenu de mon écrit adressé au Ministre le 20 octobre.
Mme Fatiha CHIKH, PANIQUANT A L’IDEE QUE J’OUVRE SON SCANDALEUX DOSSIER, M’EN DISSUADE EN M’ADRESSANT DE GRAVES MENACES[1].
Dans cet écrit adressé au Ministre il y a déjà seize jours, j’informe que je venais d’être victime d’une série d’Injures, diffamations, mensonges et accusations calomnieuses. Plus gravement, J’informe que je venais d’être menacée. Je l’ai fait de la manière la plus concise qui soit : J’en ai précisé le support (trois messages vocaux[2] via Messenger) ainsi que la date à la minute près, reproduit le contenu (mot à mot) et identifié l’auteure (nom, lieu de travail, spécialité et grade). J’y ai ajouté que cette dernière est un concentré d’incompétence académique.
§2. 2e contenu de ce même écrit.
Dans cet écrit, plus grave est le fait de lire que ces menaces sont directement liées à la guerre que je mène au profit exclusif de la qualité de la formation universitaire et contre des auteurs de véritables crimes académiques.
Le pire y est de voir que je suis menacée dans ma personne physique et par une Dame qui cherchait à me terroriser afin que je ne m’exprime jamais sur son scandaleux cas. Ce fait est d’autant plus à prendre en compte que, depuis ces menaces, j’ai déjà publié trois écrits dans lesquels je mets à exécution ce contre quoi je suis menacée[3].
§3. 3e contenu du même écrit.
J’ai saisi le Ministre en le priant d’ordonner au Recteur de traduire en Conseil de discipline l’auteure de ces menaces, et ce, en précisant :
« CAR LE RECTEUR MEGACHOU EST SINGULIEREMENT RESPONSABLE DE LA NOUVELLE AGRESSION DONT JE VIENS D’ETRE VICTIME : DU NOUVEAU SUPPLEMENT DE PRIX QUE JE VIENS DE PAYER POUR LE DOULOUREUX ET EXTENUANT COMBAT QUE JE MENE POUR L’ETHIQUE ET LA QUALITE DE LA FORMATION UNIVERSITAIRE. »
§4. Le minimum dont j’étais certaine au vu de cette terrifiante phrase en majuscules.
Cette phrase mise en tête de l’écrit d’il y a déjà 16 jours, à elle seule, avait de quoi faire trembler le Recteur. Mais le strict minimum de ce dont j’étais certaine est que, sitôt sa lecture faite, le Ministre allait ordonner à l’effarant Recteur : Les poursuites disciplinaires non seulement contre la délinquante Mme CHIKH, mais aussi contre les deux délinquants au sujet desquels je suis en droit, depuis déjà des mois, de poursuivre en justice Mr MEGACHOU.
Car cette terrifiante phrase résumait dix terrifiants écrits adressés au Ministre. Aujourd’hui et en comptant l’écrit en cours, elle en résume quinze, tous adressés[4] au même Ministre. Venant après les dix premiers, les 12e, 13e et 14e confirment que Mme CHIKH m’a menacée afin que je me taise sur son scandaleux cas :
Titulaire d’un criminel doctorat[5] et assurant, depuis, de criminelles directions[6] de travaux universitaires.
§5. Ai-je mal fait de trop attendre que le Ministre réagisse ?
Ai-je mal fait d’être trop certaine que le Ministre allait réagir, et fortement ? Seize jours après mon écrit résumé de §1 à §3, je commence à être choquée de voir qu’aucune suite n’y a été donnée et que le Recteur continue à encourager la délinquance de ceux qui en usent contre ceux qui les dénoncent (en dénonçant leur criminelle incompétence).
Mais, j’avais le droit d’être choquée par ce silence du Ministre, dès mon écrit daté d’il y a plus de trente jours et intitulé :
DIFFAMEE ET INSULTEE POUR AVOIR FAIT PRENDRE A UN C.S.F TROIS POSITIONS DONT LA PLUS DIGNE DE TOUTE SON HISTOIRE[7].
Lequel a été suivi de
LE RECTEUR DE L’UDL EST-IL COMPLICE DE L’INCOMPETENT (académique), TRICHEUR (juridique) ET DELINQUANT (misogyne)[8] …….. ?
Et de
LA GRAVISSIME ET SILENCIEUSE OPPOSITION DU RECTEUR A MON COMBAT CONTRE LE MULTIPLE CRIME DOCTORAL DE PSYCHOLOGIE.[9]
Je me pose de plus en plus la question, d’autant plus que cet écrit du 05 octobre a été précédé par une vaste et terrifiante dénonciation de ce que je qualifie de ‘CRIMES DOCTORAUX’. De même, des collègues et des amis commencent à s’étonner de voir que malgré tous ces écrits et tout ce qu’il y a de scandalisant dans leur contenu, le Ministre n’a pas encore réagi !
F. Tlemsani.
[2] Ainsi qu’un commentaire fait sur Facebook et supprimé ensuite.
[3] Ces trois écrits ont été, tous comme les autres, adressés au Ministre.
[4] De surcroit, aucun de ces deux nombres (9 et 15) n’est exhaustif.
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