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Au Président de la République, Mr Abdelmadjid TEBBOUNE
14 novembre 2020

UDL : Mme Fatiha CHIKH EN MARCHE VERS LE PROFESSORAT, APRES UNE HABILITATION ILLEGALE ET UN DOCTORAT CRIMINELLEMENT OBTENU.


 Titulaire d’un criminel doctorat augmenté d’une illégale habilitation[1], et assurant, depuis, de criminelles directions de  travaux universitaires : I

                        14 novembre 2020.

Rapport (ouvert) adressé aux

Membres de la Commission Universitaire Nationale.

 

 Mesdemoiselles, Mesdames et Messieurs,

J’ai l’honneur de vous prier de bien vouloir vous pencher sur l’écrit ci-dessous, lequel n’est que la 1° partie d’un rapport qui concerne, en matière de qualité des diplômes obtenus et de massacres pédagogiques commis, l’un des cas les plus extrêmes que l’on puisse imaginer à l’Université.

Veuillez agréer, Mesdemoiselles, Mesdames et Messieurs, l’expression de mes salutations distinguées.

Mme Fatima TLEMSANI : Faculté SHS, UDL.


Partie I-

Titulaire du criminel et seul doctorat en Sciences de l’Education délivré par l’UDL.

§1. Pour un premier choc.  

Huit ans après avoir délivré le doctorat (Bac +10) en Psychopédagogie à Mme Fatiha CHIKH, l’Université de Sidi Bel Abbès (UDL) n’a toujours pas pu avoir son 2e inscrit en doctorat, et ce, ni en Psychopédagogie ni dans aucune autre spécialité de la filière concernée, en l’occurrence l’Education. Pire, l’UDL n’a jamais été autorisée à inscrire en Magister dans aucune de ces spécialités, ni, qui plus est, dans aucune spécialité de la filière très proche qu’est la Psychologie.

§2. Triple crime déguisé en inscription en Bac +10.

Mme CHIKH s’est inscrite en doctorat de Psychopédagogie à l’UDL :

C1) qui n’était même pas habilitée à  inscrire en licence de Psychopédagogie ;

C2) où l’inscrite était la seule formatrice diplômée en Psychopédagogie ;

C3) où il n’y avait jamais eu nul autre enseignant diplômé dans la filière (Education).

§3. Délivrance d’un doctorat aggravé par un autre triple crime.

En 2012, Mme CHIKH obtenait son doctorat de Psychopédagogie à UDL :

C4- qui venait à peine d’être habilitée à délivrer le Bac +3 en Psychopédagogie (et rien de plus élevé dans toute la filière);

C5- où la doctorante demeurait la seule formatrice diplômée en Psychopédagogie; 

C6- où les deux seuls autres formateurs diplômés dans la filière (autre spécialité) n’étaient pas plus haut diplômés que la doctorante.

§4. Le 7° crime commis dans le même doctorat.

Ceci étant, l’UDL a jugé que notre Dame, au vu de sa thèse et de la soutenance de celle-ci, méritait le Doctorat. Elle le lui a donc délivré sans qu’elle n’ait trouvé, au sein de tout son personnel, le moindre spécialiste pouvant juger ladite Thèse : même pas un représentant d’une autre spécialité de la filière. Plus grave, même pas un représentant de l’une quelconque des spécialités de la filière parente qu’est la Psychologie, ni même un sociologue de l’éducation. Pire, même pas un représentant qui, malgré sa spécialité et sa filière, aurait prouvé (par des écrits) quelques compétences quant au sujet de la Thèse soutenue. D’où le 7° crime :

C7- Mme CHIKH a reçu son doctorat de la main d’un jury dont deux membres –au vu de leurs diplômes, de leurs expériences pédagogiques et de leurs publications- n’avaient aucune compétence pour juger qu’elle méritait bien ledit doctorat. Et ces deux membres y étaient les seuls représentants de l’université ayant délivré ce dernier.

§5. Le 8° crime.

C8- Alors que dans un jury de Thèse, le Président est et doit être le plus important de tous les membres, il faut ajouter ceci : Le président du jury qui a décerné le doctorat en Psychopédagogie à Mme CHIKH, au nom de l’UDL, est un analphabète en Psychopédagogie.

§6. Les huit crimes résumés.

En résumé, n’est-il pas légitime de se poser la question de savoir si l’UDL, par ce doctorat délivré à Mme CHIKH, n’a pas confondu entre Université et Cirque ?

§6. L’illégalité d’un doctorat même si les 8 crimes ci-dessus n’étaient que diffamation.

Même si les huit crimes ci-dessus n’étaient que mensonge et diffamation de ma part, il reste que Mme CHIKH est titulaire d’un doctorat illégal :

Mme CHIKH a soutenu sa thèse en violation de la règlementation nationale régissant le diplôme de Doctorat, puisqu’elle l’a fait sans avoir publié nul article lié à ladite thèse. Cette grave violation de l’exigence juridique est partagée entre la Faculté concernée (dont le CS) et le Rectorat.

Partie II-

Habilitée sur la base d’un criminel doctorat et sans l’article imposé par la Règlementation autant que par la Raison.

§7. Illégalité d’une habilitation, même si tout ce qui précède (Partie I) n’était que diffamation.

Mme CHIKH a atteint le grade de Docteur habilité (MCA) avec un article qui constitue une nouvelle violation de la règlementation en vigueur, ajouté au doctorat obtenu au prix de huit crimes académiques (commis par l’UDL) et sans l’article légalement exigé. Quant à l’expérience pédagogique (manuel, enseignements et encadrement de mémoires), je montrerai, ailleurs[2], comment celle de Mme CHIKH n’est, une fois synthétisée, qu’un concentré d’incompétence académique et d’inconscience professionnelle.

Nuance importante :

L’UDL a commis une série de crimes, en délivrant ce doctorat. L’Université d’Oran, qui n’avait pas à vérifier si ce dit doctorat n’était pas un crime, a commis une lourde faute en délivrant l’habilitation sans vérifier si l’article –qui est une condition centrale de l’accès à l’habilitation- satisfait les exigences légales. Mme CHIKH a été habilitée[3] sans prouver, après la soutenance de sa thèse, la plus minuscule compétence dans une quelconque thématique qui (conformément à la règlementation en vigueur ainsi qu’à la raison) soit extérieure à l’objet de ladite thèse.

 


[1] Simplement illégale si on fait totale abstraction de la criminalité qui fonde ledit doctorat.

[2] Dans une prochaine partie du présent rapport.

[3] Les 2  articles publiés après sa soutenance sont tirés de la thèse (et les deux auraient pu n’en faire qu’un).

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Commentaires
T
Merci vous, chère Mme Amina Bentebled.
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A
Malheureusement, cette enseignante ne sera ni la 1ere , ni la dernière à accéder au grade de prof, par effraction! L'UDL est déjà tristement célèbre dans ce genre de malversation avec la complicité honteuse, silencieuse d'ex recteurs de cette université. Ce genre de malversation dont les différents ministres de l'époque , ainsi que leur soit disant- CUN n'ont pas daigné stopper ce scandale malgré les nombreux écrits avec des preuves de faux et usage de faux! Ce fraudeur est devenu prof et s'est offert le luxe de se délocaliser au Centre universitaire de Aïn-Temouchent!<br /> <br /> Bon courage chère Dame et tout mon respect pour votre combat qui est aussi le mien!
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Au Président de la République, Mr Abdelmadjid TEBBOUNE
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