COMMENT, TOUT EN ASSURANT DE CRIMINELLES DIRECTIONS DE TRAVAUX UNIVERSITAIRES, CANDIDATER AU PROFESSORAT : L'ART de Mme CHIKH.
Titulaire d’un criminel doctorat augmenté d’une illégale habilitation[1], et assurant, depuis, de criminelles directions de travaux universitaires : III
16 novembre 2020.
Rapport (ouvert) adressé aux
Membres de la Commission Universitaire Nationale.
Mesdemoiselles, Mesdames et Messieurs,
J’ai l’honneur de vous adresser, ci-dessous, la 3° partie du rapport par lequel je dévoile ce qu’il y a d’incommensurablement scandaleux dans la candidature de la psychopédagogue Fatiha CHIKH de l’Université Djilali Liabès.
Veuillez agréer, Mesdemoiselles, Mesdames et Messieurs, l’expression de mes salutations distinguées.
Mme Fatima TLEMSANI : Faculté SHS, UDL.
Sommaire des deux écrits précédents.
I. Titulaire du criminel et seul doctorat en Sces de l’Education délivré par l’UDL.
II. Habilitée sur la base d’un criminel doctorat et sans l’article imposé par la règlementation.
III. Psychopédagogue criminellement diplômée, dirigeant une magistrante en Sociologie.
IV. Auteure d’une criminelle direction de Thèse en Philosophie.
Partie V-
Le comble du Drame : introduction aux deux parties VI et VII.
§11. Drame sur drame.
En 2020, plusieurs années après avoir obtenu son doctorat et son habilitation, trois années après avoir fait soutenir un magister dans une filière qui lui est étrangère, et alors qu’elle est en passe de faire soutenir une Thèse de doctorat dans une spécialité relevant d’une 3e filière, Mme F. CHIKH continue à être incapable de diriger, autrement qu’avec une criminelle incompétence, des mémoires de master relevant de sa propre spécialité.
Partie VI-
Auteure de scandaleuses directions de mémoires de Master.
§12. Mme CHIKH, celle pour qui le pur insoutenable est absolument soutenable.
En fin juin 2020, la collègue Mme Nassima REMMAS a déposé un rapport démolissant un mémoire dirigé par notre effarante Dame. Elle le démolit sur le plan du contenu ainsi que sur celui de la méthodologie. Ainsi, ce mémoire est clairement insoutenable, et le pire est que Mme REMMAS n’a pu rédiger ce rapport qu’après que Mme CHIKH a jugé le mémoire : Absolument soutenable. Quant à l’étudiant concerné, il est plus victime que coupable. Il est victime de l’incompétente Mme CHIKH.
§13. Mme CHIKH confirmant, elle-même, son incompétence.
Mme CHIKH remet à son étudiant le rapport. Ensuite, dès qu’elle la reçoit, c’est-à-dire sans même la consulter, elle transmet la nouvelle version du mémoire à Mme REMMAS. Ainsi, elle confirme, elle-même, sa propre incompétence à saisir le sens des critiques de Mme REMMAS : incompétente pour voir si la nouvelle version répond ou non au rapport de celle-ci. Elle confirme quelque chose de plus grave que son extrême médiocrité: elle prouve ce qu'il y a de criminel dans son activité pédagogique, activité pour laquelle elle reçoit un salaire.
§14. Honteuse réaction du chef de parcours.
Etant donné que Mme REMMAS a maintenu son rapport ('Insoutenable') malgré la nouvelle version, Mr Zouaoui MANSOURI rédige une correspondance dans l'espoir d'obtenir l’annulation des rapports de soutenabilité. Il y a matière à effarement, certainement. Toutefois, pour que tout se relativise, il suffit de découvrir que ce chef de parcours en Master, lui-meme, est titulaire d’un frauduleux doctorat.
§15. Ignoble réaction de l’hyper-incompétente Mme CHIKH.
Il s'avère que la Direction du Département n'a donné aucune suite à cet effarant courrier (§14), une absence de suite principalement due au fait que ledit département est dirigé avec une éthique étrangère à la façon avec laquelle la faculté est dirigée. Ceci étant, Mme CHIKH et son clan ont poursuivi en rédigeant l’une des plus honteuses pétitions qu’on puisse imaginer au sein de la communuaté des enseignants-chercheurs : Une pétition pour supprimer les rapports de soutenabilité et, donc, pour continuer à faire soutenir des mémoires nuls et à leur distribuer des 16 et des 17/20. Une pétition, surtout, pour continuer à cacher l’incompétence de Mme CHIKH et de ses semblables.
Maintenant, force est de remarquer que la pudeur minimale imposait à Mme CHIKH, au lieu de ce nouveau cirque, de baisser la tête tout en cherchant à se faire aider par des collègues plus compétents qu’elle, afin de sortir de ce bourbier. Se faire aider pour reprendre cet encadrement à zéro, tout en espérant que Mme REMMAS ait la générosité de taire l’affaire.
§16. De carnaval en carnaval.
Cette honteuse pétition[2] ayant obtenu trop peu de signatures et ayant dû, par conséquent, rester honteusement cachée, on a trouvé une autre solution pour contrer le très digne rapport de Mme REMMAS : On a ajouté un nouveau membre dans le Jury correspondant.
Et de surcroit, on s’est permis de le faire sans même saisir le Chef du Département, lequel est (selon la réglementation en vigueur) partie prenante dans la constitution de ces jurys de soutenance. On a ainsi agi car on veut isoler ce responsable, et on veut l’isoler car on considère qu’il est « du clan de Mme Tlemsani ». Je tiens à rectifier : Contrairement au Doyen et à certains autres responsables, Mr Abdennour SEDDIKI est un partisan de la qualité de la formation.
§17. Enfin, la burlesque suppression de la mention ‘INSOUTENABLE’.
Enfin, en fin septembre, le Doyen et le Vice-doyen de la pédagogie sont directement entrés en scène. C’est alors un autre cirque, fait de réunion et de contre-réunion, et conclu par la suppression de la mention ‘INSOUTENABLE’ sur les imprimés portant rapports de soutenabilité. Une suppression qui, sans exiger d’être commentée, se montre burlesque, une simple Mahzala parmi tant d’autres.
§18. Autre simple image de l’Université de Sidi Bel Abbès.
Le b.a.-ba de la raison imposait, incontestablement, le choix qui suit : soit on aide l’étudiant à réparer son mémoire au vu du rapport négatif de Mme REMMAS, soit on montre à celle-ci que son rapport est infondé. Et dans le 2° cas, si on est sûr de soi et dans l’éventualité où Mme REMMAS s’entête dans le tort, on défend l’étudiant en montrant à cette dernière que son rapport ne prouve que sa propre incompétence.
Au lieu d’agir au sein de cette seule alternative possible, et tout comme si on était dans un cirque, on a passé cinq mois à trouver le moyen de faire soutenir l’étudiant (lequel est victime de l’incompétence de son encadreur) tout en gardant le silence sur le vrai contenu du massacrant rapport, sur ce qui permet à Mme REMMAS de conclure par l’Insoutenabilité.
Partie VII-
Quand la simple direction d’une mastérisante prouve que l’incompétence de Mme CHIKH frôle la déficience intellectuelle.
§19. Précision initiale.
Je suis arrivée à l’UDL en 2013-2014 et je n’ai pas tardé à découvrir l’incompétence de cette Dame. Seulement, elle donnait l’air de ce qu’on appelle communément « HCHICHA TALBA M3ICHA », et elle m’a même laissé croire qu’elle possédait une certaine honnêteté, dont un minimum de conscience professionnelle.
Des évènements récents[3] ont, toutefois, fini par dévoiler son SCANDALEUX vrai visage. D’autre part, une introduction des rapports de soutenabilité pour le master a montré comment son incompétence est poussée jusqu’au seuil de la déficience intellectuelle.
§20. Deux mémoires dans lesquels Mme CHIKH a donné le meilleur d’elle-même.
Pour cette année, j’ai été dans deux jurys de mémoire de master dirigés par cette criminelle académique. Dans les deux, cette dernière a donné le meilleur d’elle-même vu qu’en plus de connaitre les compétences de Mme KHETIB, l’autre membre des deux jurys, elle craignait très fort des rapports négatifs (‘Insoutenable’) de ma part. Ce n’est pas par hasard qu’elle ne les a jugés soutenables (cad : qu’elle ne nous les a envoyés) qu’en octobre –elle qui voulait (malgré un semestre ruiné par la Covid19) tout finir en juin- et qu’après s’être assurée de la burlesque suppression (§17) de la mention ‘’INSOUTENABLE’’.
§21. Au seuil de la déficience intellectuelle : l’insoutenable devenu brillantissime.
Pour ne pas trop allonger le présent rapport[4] et par manque de temps[5], je ne vais traiter que d’un seul de ces deux mémoires. Pour des raisons évidentes, je vais choisir celui à propos duquel Mme CHIKH a fait beaucoup plus qu’être fière (en tant qu’encadreur) de ses plus que 200 pages. Celui dont elle a déclaré qu’il constitue un véritable apport à la science, en écrivant qu’il possède du « Poids dans la science et la connaissance ».
Une très prochaine publication sera exclusivement consacrée à ce mémoire qui a fait croire à Mme CHIKH qu’elle a dirigé une production scientifique qui fera date dans l’histoire de la psychopédagogie. Ici, je me contente du résumé qui suit :
1) Il n’y a que deux explications possibles au fait qu’un encadreur –qui, plus est, se juge mériter le très haut grade de Professeur- puisse tirer fierté des plus de 200 pages atteintes par un mémoire de master et, en même temps, y trouver un véritable apport à la science : Soit l’étudiant est un génie, soit ledit encadreur est d’une incompétence académique qui, dans le moins grave des cas, ne fait que frôler la déficience intellectuelle.
2) Or, l’étudiant en question, alors qu’il achève sa 5e année universitaire, n’a jamais laissé ressortir le moindre signe qui exprimerait du Génie.
3) Si on veut respecter un minimum de normes en matière de qualité des diplômes que nous délivrons, alors ce mémoire est, purement et simplement, INSOUTENABLE.
4) Quant aux plus de 200 pages, elles sont exténuantes à lire.
§22. Dramatique Mme CHIKH : Mémoire insoutenable rédigé par une étudiante comptant parmi les meilleures de sa promotion.
L’étudiante en question n’a jamais laissé voir un quelconque signe de génie, mais elle compte parmi les meilleurs étudiants de sa promotion. Donc, elle était bien placée pour faire un bon mémoire, voire très bon. A mon grand regret, elle nous a présenté un mémoire qui, avec une sérieuse évaluation, est INSOUTENABLE. Qui est responsable de ce gâchis ? Mme Fatiha CHIKH et sa vertigineuse incompétence, incontestablement.
§23. Mon 12/20, par pitié pour Mme CHIKH.
J’ai donné un 12/20 alors que ma conscience au sens strict m’imposait d’opposer ‘Insoutenable’ quitte à lancer une bataille[6], aussi, contre le cirque par lequel on a fait retirer la mention ‘INSOUTENABLE’ des imprimés servant aux rapports de soutenabilité. Nous étions en octobre et j’ai donné ce 12/20 au lieu de l’Insoutenabilité, par pitié pour Mme CHIKH, pour ne pas ajouter à la honteuse situation qu’elle vit depuis juin : depuis le massacrant rapport d’insoutenabilité de Mme REMMAS (Partie VI ci-dessus), et auquel, malgré tout le temps déjà écoulé, elle demeure incapable d’aider son étudiant à répondre.
§24. Mon 12/20, pour sauver l’étudiante.
J’ai donné 12/20 au lieu d’opposer ‘Insoutenable’ car : 1) nous étions en octobre, 2) le mémoire allait devoir être revu de fond en comble, 3) l’incompétente Mme CHIKH n’allait rien pouvoir faire afin d’aider son étudiante. En somme, celle-ci, alors qu’elle est une bonne étudiante, aurait largement dépassé le délai de soutenance, et, par conséquent, aurait perdu une année. D’autre part, très probablement, elle aurait raté tous les prochains concours de doctorat.
§25. L’effarante ingratitude de Mme CHIKH.
Jugeant que cet insoutenable mémoire mérite un strict minimum[7] de 17/20, voici comment elle me remercie : Ingrate jusqu’à l’effarement et pathologiquement inconsciente du caractère scandaleux de son cas personnel, elle m’attaque par un courrier qu’elle adresse à la présidente du jury. Ensuite, elle poursuit son attaque par un courrier qu’elle envoi à la direction. Elle va jusqu’à prier Allah afin qu’il me punisse pour le mal que je suis censée avoir fait à l’étudiante (et implicitement, surtout à celle qui l’a dirigée).
§26. Mme CHIKH poussant l’indignité jusqu’à remonter son étudiante contre moi.
En outre, elle a remonté son étudiante contre moi. Après lui avoir raconté que son mémoire est brillantissime (‘Apport à la science’) et qu’elle ne peut pas lui donner plus de 17/20, parce que cette note était le maximum autorisé, elle a ajouté ceci : 1) La Présidente du jury a, elle aussi, été émerveillée par le mémoire et lui a, elle aussi, donné la note maximale[8] de 17/20. 2) La méchante et saboteuse Mme Tlemsani, moi-même, l’a radicalement sabotée en ne lui donnant que 12/20. 3) Ma méchanceté allait conduire au fait que ce brillantissime mémoire allait obtenir une note inférieure aux notes données à des mémoires d’un niveau très inférieur.
Or : 1) La présidente n’a jamais été émerveillée par ce mémoire et ne lui a jamais donné 17/20. 2) Tout au contraire de l’avoir sabotée, j’ai généreusement offert 12/20 à un mémoire insoutenable. 3) On commet une grave faute (et un déshonneur) en remontant un étudiant contre un collègue enseignant. 4) Le membre d’un jury de soutenance commet une grave faute en divulguant les notes données par chacun des membres, et la faute est d’autant plus grave que ce secret de la délibération est dévoilé à l’étudiant lui-même.
§27. Détail complémentaire
En ne considérant que cette petite affaire, Mme CHIKH a commis pire que ce que §25 et §26 disent. Ailleurs, elle en a commis aussi.
[1] Simplement illégale si on fait totale abstraction de la criminalité qui fonde ledit doctorat.
[2] Devinant parfaitement ma réaction, le clan de cette pétition ne me l’a jamais fait parvenir.
[3] Une bataille que j’ai (officiellement !) lancée lors d’une réunion du CSF (27 févier 2020), contre une criminelle mascarade déguisée en formation doctorale. Mme CHIKH s’est sentie visée, et ce, d’abord au vu de sa vertigineuse incompétence [et du grand soutien (communauté d’intérêt) qu’elle trouve auprès du clan que j’ai attaqué]. Ensuite et surtout, il y a eu la publication par laquelle j’ai demandé l’annulation d’un doctorat qui ressemble, très fort, au sien.
[4] D’autant plus que le présent écrit n’en est que la 1° partie.
[5] Mon temps et mon énergie sont entièrement pris par ce combat qui débute (officiellement) lors du CSF du 27 février, et qui, malgré moi, s’est tellement amplifié et élargi depuis.
[6] Bataille qui aurait été toute petite, en comparaison avec celle (plurielle) que je mène présentement.
[7] Mme CHIKH n’a pas donné plus de 17/20, car cette note a fin par être été fixée comme maximum, après plusieurs années durant lesquelles on a distribué les 18/20, et on est allé jusqu’à 19/20, à des mémoires qui, souvent, étaient à peine moyens.
[8] Par-dessus tout, ce mémoire n’a pas été soutenu, ni en présentiel ni par vidéo.