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Au Président de la République, Mr Abdelmadjid TEBBOUNE
1 décembre 2020

JE DEFIE LE DG Boualem SAIDANI : LE DEVOIR ETHIQUE ET JURIDIQUE D’ANNULER LE SCANDALEUX DOCTORAT (et autre) DE Mme FATIHA CHIKH


 TITRE GENRAL : Plainte contre la bouleversante réponse que Mr Boualem SAIDANI, Directeur Général au MESRS, m’a adressée : III

Sous-titre 1 : Redresser l’Enseignement et la Formation Supérieurs, avec un DG protégeant les auteurs de crimes pires que ceux nommés ‘Plagiat’.

Sous-titre 2 : Que Mr B SAIDANI relève le défi d’un débat ouvert avec moi, écrit contre écrit.

Rapport (ouvert) adressé

A  Monsieur Le Premier Ministre.

S/couvert de Mr le Ministre de l’ESRS.

Mme Fatima Tlemsani (UDL) 


 §11. Triple Défi : Le burlesque et ignoble renversement des valeurs dont le DGEFS B. SAIDANI ne s’est pas contenté.

Apres s’être si longuement et si absolument tu sur l’agression verbale et les menaces que j’ai subies de la part de Mme Fatiha CHIKH (UDL), et après avoir ainsi agi tout en sachant  que j’ai subi tout ceci pour cause de ma défense d’un secteur dont il est censé être –de par sa très haute fonction- le premier défenseur en Algérie (après le Ministre lui-même), Mr B SAIDANI, le Directeur Général de l’Enseignement et de la Formation Supérieurs (DGEFS), m’ordonne d’avoir de l’égard et du respect pour l’auteur de cette multiple délinquance.

Ceci étant, je le mets au défi de prouver que la coupable ne m’a pas calomniée, diffamée et –ce qui est beaucoup plus grave- menacée. Pire encore, je le défie de prouver que ces menaces avaient un autre but que celui de me faire taire sur des crimes commis contre ce que l'Université se doit d'être.  

Par ailleurs, je le défie de trouver ne serait-ce que dans un seul de mes sept[1] écrits relatifs à cette Dame, et outre une demande de traduction en Conseil de discipline, autre chose que ceci : Une défense de l’enseignement supérieur, d’une part, et du Doctorat, de l’Habilitation et du Professorat, d’autre part.

§12. L’obligation juridique, explicite et implicite, d’annuler le Doctorat délivré par l’UDL à Mme CHIKH.

Le scandaleux doctorat obtenu par Mme CHIKH dans la scandaleuse Université Djilali Liabès (UDL), ne peut s’expliquer que par l’une ou l’autre des deux façons suivantes.

Façon I : L’UDL a délivré ce diplôme de Docteur alors qu’elle n’était même pas autorisée (sur papier) à inscrire en doctorat dans la filière concernée, et pas seulement dans la même spécialité. Dans ce cas, l’illégalité est on ne peut plus flagrante, plus indiscutable. Elle est, d’autre part, d’une radicalité sidérante, inouïe.

Façon II : L’UDL n’a délivré ce très haut diplôme qu’en tant qu’habilitée à le faire. Dans ce cas, le MESRS –à travers ses responsables d’alors- n’a ni plus ni moins que commis un haut crime contre le secteur dont il est le Ministère, en l’occurrence : l’enseignement supérieur et la recherche scientifique.  

Détails et précisions qui s’imposent : Pour ne pas trop allonger ce rapport dont le présent écrit n’est que la partie III, je renvoi à la publication dans laquelle je compte huit crimes (notés de C1 à C8) commis par l’UDL en délivrant ce dit doctorat. En voici le titre :

UDL : Mme Fatiha CHIKH EN MARCHE VERS LE PROFESSORAT, APRES UNE HABILITATION ILLEGALE ET UN DOCTORAT CRIMINELLEMENT OBTENU[2].

Et en voici le lien :

http://udlcrimacademic.canalblog.com/archives/2020/11/14/38650013.html

Cette publication destinée à la Commission Universitaire nationale (CUN) a été précédée par :

Mme CHIKH, LA TITULAIRE DU CRIMINEL ET SEUL DOCTORAT EN Sces DE L’EDUACTION DELIVRE PAR L’UNIVERSITE DE SIDI BEL ABBES[3].    

§13. Huit défis au patron national[4] de la formation doctorale et concernant le même doctorat.

Au triple défi par lequel s’entame le présent écrit, j’ajoute huit défis que je lance au même Mr B. SAIDANI. Un pour chacun des crimes académiques (C1 à C8) dont il a été informé par les deux  publications[5] ci-dessus, et qui entachent, tous, le doctorat sur lequel il me demande (m’ordonne) de ne plus écrire.

Autrement-dit : je défie Mr le DGEFS[6] de me répondre ne serait-ce qu’à un seul de ces huit crimes. Je le défie de pouvoir en nier ne serait-ce qu’un seul !

§14. L’obligation d’annuler ledit doctorat, même si le DG B. SAIDANI relève (en rêve) triomphalement chacun de ces huit défis.

Supposons que le DG B. SAIDANI arrive –dans un monde des plus imaginaires !- à prouver qu’aucun de ces huit crimes n’est autre chose qu’une pure invention sortie de ma tête, une pure diffamation qui devrait me faire mériter grandes sanctions disciplinaires et sérieuses poursuites judiciaires.

Malheureusement pour Mr B. SAIDANI, même dans ce cas dont je garantis l’absolue impossibilité, il restera que sa protégée (et protégée de son protégé Recteur) a bénéficié d’un doctorat illégalement délivré. Abstraction faite des huit crimes en question, force est de relever que le Recteur d’alors –Mr Abdennacer TOU- l’a autorisée à soutenir sa thèse en violation d’une norme juridique essentielle en la matière. Cette Dame a soutenu sans avoir publié nul article interne  au thème de sa thèse.

§15. Habilitation illégale même si tout le contenu des §12, §13 et §14 s’avère n’être que mensonges et diffamations.

Avec ce Doctorat entaché de huit crimes et de l’illégalité relative à l’article, Mme CHIKH s’est inscrite à l’Habilitation et l’a obtenue en violation, encore une fois, d’une exigence juridique fondamentale. Elle a été habilitée sans l’article par lequel elle devait prouver un minimum de compétence dans un objet autre que celui traité dans le (criminel) doctorat.  

Le moins que l’on puisse dire : Pourrait-on imaginer un très haut diplômé aussi dramatiquement chanceux ? 

[Précision : L’UDL a commis une série de crimes, en délivrant ce doctorat. L’Université d’Oran (ex Es Sénia), qui n’avait pas à vérifier si ce dit doctorat n’était pas un crime, a commis une lourde faute en délivrant l’habilitation sans vérifier si l’article –qui est une condition centrale de l’accès à l’habilitation- satisfait les exigences légales.]

§16. Conclusion.

Au lieu de pousser l’ABUS de pouvoir (et la menace implicite) jusqu’à m’ordonner de me taire, que le DG Boualem SAIDANI ait le courage de relever le défi d’ouvrir un débat avec moi, publication contre publication, sur ce panier de crimes académiques dont sa protégée a été l’heureuse bénéficiaire.

ANNEXE.

§17. Crimes commis à un moment où l’UDL était l’une des universités les plus hors-la-loi du monde, avec le consentement des hauts lieux.     

Mme CHIKH a soutenu sa Thèse de doctorat en 2012, et s’y était inscrite, donc, quelques années auparavant. C’était les plus grandes années pour l’ex clan présidentiel[7], et ce clan comportait (durant ces années) deux Ministres immensément importants pour l’ex Président : Importants plus par leurs agissements au sein du FLN d’alors[8], que par leurs activités au sein du Gouvernement.  L’un des deux était le Ministre de l’ESRS. Quant à l’autre, en plus d’être aussi  le grand Député de Sidi Bel Abbès, était le frère du Recteur d’alors (UDL).

Durant ces années, l’UDL a été l’une des Universités les plus hors la loi de toute l’histoire mondiale des institutions universitaires. Je ne sais pas quel était le statut de Mr Mourad MEGHACHOU à l’époque considérée, mais une chose est certaine : il en est un grand héritier, voire le principal héritier, un grand continuateur.   

 F. Tlemsani.


[1] Sans compter ceux adressés à Monsieur le Premier Ministre.

[2]En résumé, n’est-il pas légitime de se poser la question de savoir si l’UDL, par ce doctorat délivré à Mme CHIKH, n’a pas confondu entre Université et Cirque ?

[4] Patron national après Mr le Ministre de l’ESRS.

[5] Ces deux publications (comme tant d’autres) ont été envoyées à Mr Boualem SAIDANI.

[6] Directeur Général de l’Enseignement et de la Formation supérieurs.

[7] Les plus grandes années, vu qu’elles s’entament avec la mise à l’écart des principaux opposants (ou adversaires) au 2° mandat, et vu qu’elles s’achèvent  par l’historique AVC de 2013.

[8] C’est ainsi que ce Duo a été essentiel pour que le FLN revienne dans les mains du Président d’alors (et pour que le 2e quinquennat ait lieu).

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