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Au Président de la République, Mr Abdelmadjid TEBBOUNE
14 décembre 2020

DEMANDE DE SANCTIONS CONTRE LE RECTEUR MEGHACHOU (UDL), POUR COMPLICITE DE DELINQUANCE CONTRE MA PERSONNE.


 SERIE :

Demandes de poursuites disciplinaires contre le Recteur Mourad MEGHACHOU de l’UDL : I

Lettre ouverte à Monsieur le Premier Ministre.

S/couvert de Mr le Ministre de l’ESRS.

 

     Monsieur le Premier Ministre,                         

J’ai l’honneur de porter à votre connaissance, que je sollicite Mr le Ministre de tutelle (ESRS) pour des poursuites disciplinaires à l’encontre du Recteur de l’Université de Sidi Bel Abbès, Mr Mourad MEGHACHOU.

Par l’écrit ci-dessous et d’autres qui suivront, permettez-moi, Mr Le Premier Ministre, de vous préciser les motifs –aussi terrifiants qu’immensément nombreux- qui fondent ladite demande disciplinaire.

Veuillez agréer, Monsieur le Premier Ministre, l’expression de ma haute considération.

Mme Fatima TLEMSANI : UDL (Faculté des SHS).


Partie I - Complicité n° 1 :

Forte délinquance, avec deux récidives et dont Mr MEGHACHOU empêche la sanction, depuis plus de neuf mois.

S1. Diffamations, injures et accusations calomnieuses proférées en plein Bloc administratif de la Faculté.

Le 27 février : En plein bloc administratif de la Faculté, Mr Zouaoui MANSOURI hurle en proférant diffamations, mensonges et insultes à mon encontre. En particulier, il hurle que j’ai trahi la confiance des collègues qui m’ont élue au CSF et appelle à une coalition pour m’en chasser. Mr Yacine HABAL le soutient, l’encourage et participe à ces propos et à cet appel. C’est alors une véritable crise d’hystérie contre moi (et en mon absence).

§2. 1ère Récidive et aggravation par l’usage de l’hyper-médiatique Facebook.

Le 29 février : Mr MANSOURI récidive et aggrave son délit en le commettant par écrit, sur la toile du web et sur le célébrissime FACEBOOK, lequel est plus puissant que la presse et les médias traditionnels pour propager l’information (et la désinformation) qu’on veut propager. De plus, avec statut ‘’Public’’, comme si les plus de 3.000 amis du diffameur (dont beaucoup de collègues et des centaines de nos étudiants) et les amis de ces 3.000 amis ne suffisaient pas à me salir sur la place publique.

§3. 2e Récidive et aggravation par l’usage d’un site Web professionnel (pour universitaires).

Le 03 mars : Le diffameur persiste et signe en publiant toutes ses agressions verbales, aussi, sur un blog. Le pire est qu’il s’agit d’un blog qu’il s’est ouvert dans un site professionnel, un site pour enseignants-chercheurs (ou chercheurs). A ceci, j’ajoute qu’il il y a publié sa collection de diffamations, d’injures et d’accusations calomnieuses en la faisant passer pour une contribution scientifique.

§4. Extrême gravité des propos tenus contre moi et sur l’immensité du WEB.

D1- Je ne mérite qu’un SIXIEME de doctorat au mieux. Cette diffamation s’exprime non seulement dans le contenu du texte, mais aussi par l’image (cercle avec isolement d’un sixième de sa surface et la mention « 1/6 ») et dans le titre.

D1bis. Si j’étais honnête, j’aurais déchiré mon diplôme de doctorat tellement je ne le mérite pas.

D2- J’encaisse un salaire d’enseignant-chercheur que je ne mérite pas puisque le diffameur écrit que je n’assure ni enseignement, ni encadrement de mémoire ni activité scientifique.

D3- Je m’attaque et nuis aux collègues dont le seul but est d’assurer le mieux possible leur missions d’enseignants-chercheurs –et de se consacrer, corps et âme, à servir le monde de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.

D4- Le diffameur est aidé par ALLAH dans son dévouement à la science et à l’intérêt général, ce qui laisse penser que je me destine (moi qui combats ce dévouement) aux flammes de l’Enfer.

D5- Les propos que je tiens sont pareils aux aboiements des chiens.

§5. Le pire dans l’extrême gravité de la publicité dont j’ai été victime.

Même si je ne considère que D1 et D2 au sein de cette infamante publicité, le pire est que : J’ECRASE Mr ZOUAOUI MANSOURI PAR MES COMPETENCES ACADEMIQUES, PAR MA MORALE ET PAR LE DEVOUEMENT AVEC LEQUEL J’ASSURE LA FONCTION POUR LAQUELLE JE REÇOIS MON SALAIRE.

§6. Une demande de traduction disciplinaire que Mr MEGHACHOU étouffe depuis plus de neuf mois.

C’est depuis le 10 mars[1] 2020, donc plus de neuf mois, que j’ai déposé une demande de traduction disciplinaire contre l’auteur de toute cette délinquance commise contre ma personne. A ce jour, le Recteur n’a toujours pas remis l’affaire entre les mains de la structure habilitée en la matière. A ce jour, il n’a toujours pas convoqué cette structure. A vrai dire, le Recteur a commis bien plus grave puisqu’à ce jour, de surcroit, il n’a pas senti le besoin de m’adresser la plus minuscule réponse par laquelle il aurait tenté de justifier (de camoufler) la terrifiante protection qu’il assure à mon agresseur.

§7. Deux autres plaintes liées à la même affaire, contre le même délinquant et que le même Recteur étouffe.

Dans le texte doublement publié sur le Web (1° et 2° récidives), deux autres collègues, et toutes deux des Dames, sont visées. Dès le début de son écrit, il parle d’un « clan ». Seuls D1 et D1bis n’étaient destinés qu’à moi, et une attaque non reprise ci-dessus (en §4) ne me concerne absolument pas.

De plus, alors que c’était la 1° fois que ce Mr osait m’attaquer et aussi publiquement, il se faisait un plaisir de propager ceci : 1) Devenu psychanalyste : « Les problèmes posés par ces deux Dames dans les comités pédagogiques ne s’expliquent que par … »[2]. 2) Contre celle qui lui a fait l’honneur de le placer dans son jury de Thèse : «  Sa thèse et sa soutenance sont nulles »[3].

Chacune des deux a déposé une demande de traduction disciplinaire contre le délinquant Mr MANSOURI. Malgré ceci, le Recteur continue à vouloir étouffer l’affaire.

§8. Un Recteur continuant à couvrir un délinquant contre trois victimes qui, de plus, sont, toutes trois, des femmes.

Nous sommes donc trois femmes à avoir été victimes de ce Monsieur, et chacune de nous a déposé une demande de poursuite disciplinaire contre lui.  Mais malgré tout  ceci, le Recteur Mourad MEGHACHOU continue à tout faire afin qu’il n’y ait aucune sanction contre son protégé.

Il m’a été dit que out en affirmant qu’il n’accorde aucune importance aux demandes des deux autres Collègues, Mr le Recteur a signifié qu’il fallait tout faire pour que : soit j’oublie l’affaire, soit je pardonne ; ceci est confirmé par tout le comportement qu’il a eu à propos de cette affaire.

Partie II - Complicité n° 2 :

Délinquance dont Mr MEGHACHOU empêche la sanction depuis huit mois.

§9. Participation de la nullité universitaire Hana BOUHARA à l’agression.

Dès que Mr MANSOURI a commis son odieux acte sur Facebook, Mme Hana BOUHARA entre en scène. Comme si elle était devant son appareil n’attendant que cette ignoble et délictuelle publication, elle saute de joie en cliquant sur J’ADORE.

Ne se contentant pas d’adorer  (et publiquement) la très grave publicité qui m’a été faite par le délinquant MANSOURI, elle va plus loin en participant plus activement à la diffamation et aux injures. Elle commente et son commentaire signifie ceci : En compétence académique, en conscience professionnelle et en éthique, je ne suis rien en comparaison avec la grandeur de Mr MANSOURI.

§10. Le pire dans la gravité de ce J’ADORE et de ce commentaire.

Voici le pire dans cette confirmation-renforcement de la publicité dont je suis victime : PAR MES COMPETENCES ACADEMIQUES, PAR MA MORALE ET PAR LE DEVOUEMENT AVEC LEQUEL J’ASSURE LA FONCTION POUR LAQUELLE JE REÇOIS MON SALAIRE, J’ECARSE Mme Hana BOUHARA TOUT AUTANT QUE J’ECRASE Mr MANSOURI.

Par ailleurs : Mme BOUHARA A TROP VITE OUBLIE QUE C’EST CONTRE MA PURE CONSCIENCE QUE J’AI PARTICIPE A LUI DELIVRER L’HABILITATION.

Enfin : ELLE A TROP VITE OUBLIE QU’IL EN A ETE DE MEME POUR LES DEUX AUTRES MEMBRES DE SON JURY, ET QUE (par la force des choses) J’EN SUIS TEMOIN.

§11. Le plus malsain dans ce J’ADORE et ce Commentaire.

Au-delà du délit pénal, voici ce qu’il y a de plus malsain ici : Mme BOUHARA n’accorde pas un milligramme de vérité à ce qu’elle a signifié contre moi et à ce que Mr MANSOURI a écrit contre moi. Elle sait, au fond d’elle-même, que sur chacun des trois plans (compétence, conscience et éthique), je l’écrase et j’écrase Mr MANSOURI.

Elle a ainsi agi pour trois grandes raisons : 1) Elle tenait à remercier le si misogyne Mr MANSOURI d’avoir permis qu’elle soit dans l’équipe du drame que j’ai qualifié de « Crime académique » et de « Mascarade déguisée en formation doctorale », et d’avoir permis qu’elle y dirige deux Thèses. 2) Elle a cru que son intérêt personnel lui imposait de faire grande allégeance à Mr MANSOURI, après avoir été certaine de ceci : Que ce dernier ait osé publier des propos aussi durs et aussi délinquants contre moi, prouvait (pour elle) qu’il devenait (de plus en plus) le très futur patron de la psychologie (voire : et des Sces de l’éducation) à l’UDL. 3) Elle était certaine que la grande coalition dirigée par le Doyen, et bénie par le Recteur, avait, enfin, réussi à m’abattre, réussi à abattre cette personne qui, avec une franchise inouïe, se permettait de dire à ses collègues tout ce qu’elle pensait d’eux (et surtout : de leur niveau académique).

§12. Encore une demande disciplinaire étouffée par le Recteur MEGHACHOU.

Ma demande disciplinaire concernant cette autre délinquante date du 17 avril 2020, et à ce jour, huit mois plus tard, il n’y a toujours rien. Décidé à épargner toute sanction à son grand protégé Mr Zouaoui MANSOURI, Mr MEGHACHOU est contraint de faire de même pour cette Dame.  Des deux dames dont il est question plus haut (§7), au moins une a déposé, elle aussi, la même demande contre Mme Hana BOUHARA. Ainsi, il y a au moins deux demandes contre cette dernière, et nous attendons depuis huit mois.

Partie III – Les Preuves :

§13. Pour la crise hystérique du 27 février

Pour cette crise d’hystérie qui a eu lieu en plein bloc administratif de la faculté et qui  a bénéficié de la participation et encouragement du Chef de filière, des collègues pourront en témoigner.

§14. Pour l’infamante publicité que j’ai subie sur Facebook.

Pour la preuve de cette 1° récidive, voici le lien qui y conduit :

https://www.facebook.com/photo.php?fbid=2944153842312139&set=a.135775739816644&type=3&eid=ARBsj-tgi_E4HImQuTS8eT0I6eoD1W8qp1bG83J1Mw_7cY227fOtDkEdORTilj0QonhloMa-GN2BRgNs

§15. Pour la poursuite de la délinquance sur le site Web professionnel.

Pour la preuve de  cette 2° récidive, en voici le lien qui y mène :

https://psysba.com/blog/2020/03/03/%d8%b3%d8%af%d8%b3-%d8%b4%d9%87%d8%a7%d8%af%d8%a9-%d8%a3%d9%88-%d8%a3%d9%82%d9%84/

 F. Tlemsani.



[1] Et cette demande a été précédée (dès le 1° mars) par une autre requête adressée au Recteur et justifiée par cette même agression.  

[2] Un propos insultant, foncièrement misogyne, tendant à rabaisser les deux collègues et indigne d’un universitaire.

[3] J’ai souvent défendu ces deux Dames et j’ai manifesté mon amitié pour elles. Sans cela, elles auraient subi bien plus de la part de Mr MANSOURI et de son clan.

 

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