Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Au Président de la République, Mr Abdelmadjid TEBBOUNE
17 décembre 2020

PLAINTE CONTRE LE RECTEUR MEGHACHOU (UDL), POUR COMPLICITE DE MENACE CONTRE MA PERSONNE.


SERIE :

Demandes de poursuites disciplinaires contre le Recteur Mourad MEGHACHOU de l’UDL : II

Le 17 décembre 2020.

Pour Monsieur le Premier Ministre.

S/couvert de Mr le Ministre de l’ESRS.

Mme Fatima Tlemsani (UDL).


Partie IV

Autres récidives et faits : aggravation de la protection rectorale de mon 1er agresseur.

§16. La 3e récidive de Mr Zouaoui MANSOURI.

Au lieu de le poursuivre en justice et de le faire condamner, et seulement après avoir pris note d’un effarant, irresponsable et justiciable mutisme rectoral, j’ai saisi le Ministre[1] (d’alors) de l’ESRS par une lettre ouverte l’accusant de ce qui suit : 1) Il assure un cours doctoral dans lequel il est un analphabète ; 2) il s’est fait prévoir pour diriger deux thèses où il brille par son incompétence ; 3) « Je le défie de pouvoir me parler durant cinq minutes (sans balbutier) de psychologie positive » laquelle est au cœur de ma Thèse, donc de celle qu’il a qualifiée de 1/6 de Thèse.

Comme plongé dans un état absolument second, un état de délire, mon multiple et récidiviste agresseur me poursuit en justice. Mon diffameur me poursuit pour diffamation.

§17. La 4° récidive de Mr Z. MANSOURI.

En aout, après avoir enfin pris connaissance du contenu de la plainte judiciaire, j’ai découvert ceci : En plus du fait que ladite plainte était, en soi, une 3° récidive (et que seul un état délirant pouvait l’expliquer), mon agresseur m’accusait sur la base d’un fait inventé de toute pièce, un pur mensonge.

§18. Mon agresseur prenant conscience du danger contenu dans sa plainte.

On espérait me faire peur, afin de me faire taire.Mais bien avant que je ne découvre la 4° récidive, Mr MANSOURI a compris la certitude avec laquelle j’allais transformer sa plainte (contre moi) en condamnation pénale (contre lui) et en réparation à mon profit. Ceci étant, il a prié son Avocat de faire en sorte que la burlesque (et diffamante) plainte n’ait aucun lendemain.

§19. La 4° demande disciplinaire contre Mr Z. MANSOURI, et que le Recteur étouffe.  

Je me suis tu après la 3° récidive, mais après la découverte de la 4°, j’ai déposé une 2° demande de poursuites disciplinaires contre mon agresseur. Nous étions le 17 aout, il y a donc quatre mois. Quant au Recteur MEGHACHOU, il est désormais coupable d’étouffement de six (voire sept) demandes de traduction en Conseil de discipline, tous relevant de la même affaire et dont quatre accusent le même protégé rectoral (Mr MANSOURI).

§20. Les 5° et 6° récidives de Mr Z. MANSOURI.

En juin 2020, pleinement rassuré par la protection rectorale (et comme en signe de reconnaissance de ma si généreuse auto-interdiction de le poursuivre au Pénal), Mr MANSOURI accomplit de nouveaux actes contre moi, en codirigeant (avec Mme CHIKH) une équipe dont la mission était de m’empêcher de déposer le projet de formation doctorale pour lequel je venais enfin de me décider.

5° récidive : Il a essayé de me bloquer en m’empêchant d’obtenir l’encadrement nécessaire au dépôt du projet (voir §23).

6° récidive : La 5° récidive ayant échoué, il a refusé l’adossement de mon projet doctoral -en Sces de l’éducation !- au Laboratoire de Psycho et de Sces de l’éducation, lequel Labo (privatisé !) appartient[2] à l’université, à la faculté et au département dont je fais pleinement partie (§24).

Particularité : Dans la pure apparence, Mme CHIKH et Mr HALLOUCH sont les seuls coupables   dans ces deux grosses crapuleries commises contre ledit projet doctoral.

§21. La 7° récidive de Mr Z. MANSOURI.

Ayant compris que me poursuivre en justice finirait en catastrophe pour lui, il a cherché à me faire taire (me faire peur) en me faisant harceler par son Huissier de justice.

Partie V

Entrée en jeu de la bouleversante Mme Fatiha CHIKH.

§22. Le 1er acte que Mme CHIKH a ouvertement accompli contre moi. : Burlesque indignité.

Un jour, il y a quelques mois, par un commentaire laissé dans un groupe facebook pour étudiants, elle m’a donné un ordre en jouant de son poste de chef de parcours, un poste qu’elle déshonore en échange d’une rémunération. Si je lui avais répondu, dans le même groupe et comme il se doit, elle serait redevenue la petite personne que j’avais connue quelques années plus tôt, et surtout : elle m’aurait certainement épargné tout ce qu’elle m’a fait subir par la suite. Par pitié pour elle, j’ai commis l’erreur de faire comme si de rien n’était, et cette générosité a conduit à ce qui suit.

§23. 1° Récidive : Crapuleux contre-projet de formation doctorale.

Dès qu’elle a su que je venais de décider de déposer un projet de formation doctorale, Mme CHIKH a décidé (en accord avec Mr MANSOURI et leur clan) de déposer le même projet (même filière), et ce, dans le seul but de bloquer le mien. La crapuleuse astuce était de m’empêcher de déposer en me privant de l’encadrement minimal règlementaire.

Echec aussi cuisant que révélateur : De tous nos collègues (UDL) qui avaient le droit d’être dans le CFD (comité de  formation doctorale) de son indigne projet, Mme CHIKH n’a pu avoir que Mr HALLOUCH. Tous les autres ont, et de très loin, opté pour être dans le mien. Ainsi, le projet doctoral de Mme CHIKH a été un mort-né.

§24. 2° Récidive : Illégal et anti-déontologique refus d’adosser une formation doctorale.

Après avoir essuyé l’échec de son crapuleux contre-projet de formation doctorale, Mme CHIKH (avec son ami Mr MANSOURI) a poursuivi  en priant leur ami commun Mr HALLOUCH d’endosser la responsabilité de l’illégal et anti-déontologique refus de mon projet doctoral.

Au-delà de l’illégalité et de l’anti-déontologie : Alors que mon projet a été adossé ailleurs, le seul Laboratoire en Education (à l’UDL) a raté l’heureuse occasion d’adosser la seule formation doctorale en Education (à l’UDL).

§25. 3° Récidive : Une attaque on ne peut plus frontale.

Les vacances d’été arrivent et Mme CHIKH se calme. Mais, le 02 octobre, elle adresse un mail à une majorité de collègues de la filière. Alors que je ne fais pas partie des destinataires, j’en suis la principale concernée. J’en suis la cible et l’agressivité à mon encontre est extrême, même si mon nom n’est jamais cité.

Pour l’essentiel : 1) L’équipe dirigeant la filière (dont elle-même) restera la dirigeante, que je le veuille ou pas, et malgré tout ce que je peux en penser et tout ce que j’en ai écrit. 2) Elle, Mme CHIKH, est de ceux qui ont lancé la filière à l’UDL, et ce fait, à lui seul, devrait interdire à une presque étrangère (moi-même) d’essayer d’y changer quoi que ce soit. 3) Si ce qui se passe à l’UDL ne me plait pas, je n’ai qu’à quitter les lieux.

Et voici comment, après avoir transformé le Labo de Psychologie et d’Education en petit commerce dont elle est une des propriétaires, Mme CHIKH a acheté, au sein de l’UDL, toute l’épicerie nommée ‘Psycho et Sces de l’Education’. 

Partie VI - Complicité n° 3 :

Injures, diffamations, mensonges et série d’accusations calomnieuses.

§26. Précision préalable.

Le 19 octobre 2020, Mme CHIKH commente sur Facebook mes publications adressées à Mr le Ministre de l’ESRS. Puis, à 12h 46, elle me laisse une série de trois messages vocaux sur Messenger.

§27. 4° Récidive : Un des commentaires[3] Facebook (supprimés aussitôt) et 1° message vocal.

A-  J’ai comblé Mme CHIKH d’insultes (seul exemple cité : ‘’INALPHABETE’’).

B-  Je suis une mécréante.

C- Je suis, aussi, une personne d’une basse valeur et à laquelle Mme CHIKH a généreusement offert de la considération et du respect[4].

D- Je suis une traitresse indigne de confiance, une ingrate.

E- Je suis (propos le plus grave hors MENACES) une diffamatrice et une malfaisante.

F- Je n’ai épargné personne par mes diffamations.

§28. 5° Récidive : 3° message vocal (Messenger).

G- Je suis une folle à lier et mes publications (dénonciations) sont celles d’une malade mentale.

G’- Je devrais aller vider cette folie dans une clinique de psychiatrie.

§29. Contenu exact (transcrit) de la 4° Récidive.

- Un des Commentaires faits sur Facebook (19 octobre vers 12h 30) et supprimés aussitôt       

ما تخافيش الله رديتينا مانصلحوش حسبي الله ونعم الوكيل الله يتولاك ماخليتي حتى حد.

- Message vocal n° I (Messenger, 19 octobre à 12h 46)

الله يخلف عليك فاطمة الله يخلف عليك اختي زردتيني معايرة  انا إنالفابات  انا إنالفابات قيمناك وكليت معانا الملح  ودورتي علينا، شادرتلك انا شادرتلك ماخليتي ليندة  مشيتي بديتيها بمنصوري ولخر ولخر  زادتيني انايا بصح شوفي بيناتنا الله حسبي الله ونعمة الوكيل فيك حسبي الله ونعمة الوكيل فيك خلاصك عند مولاك ماشي عندي اسمعتيني وجهي ما يجي في وجهك الى يوم الدين.

§30. Contenu exact (transcrit) de la 5° Récidive.

الهبال الي راه فيك روحي خويه في كاش كلينيك روحي فتشي على كاش طبيب  يداويلك هاذ المرض الي راه فيك برسكو تي ني با نورمال ايليق الي قولهالك باش تفطني تي أنورمال روحي اجري على روحك من ضروك.

------------------------------------------------

Partie VII

Le summum de la complicité rectorale : Le temps des MENACES.

§31. Le Summum de la (6°) Récidive : Les MENACES de Mme CHIKH (2° message vocal)

1) Si j’ouvre son scandaleux dossier, je le regretterai car, contrairement à MANSOURI[5] (Zouaoui) et à Lynda (ABDERRAHIM), elle (Mme CHIKH) me le fera chèrement payer.

2) Son compte (sa RANCŒUR) contre moi est immense !

3) Elle me prévient : « FAIS GAFFE A TOI ! ».                                                       

4) Elle persiste et signe : « Je te le redis : FAIS GAFFE A TOI ! ».

5) A tout  ceci, il faut ajouter le ton particulièrement menaçant, avec lequel ces menaces orales ont été faites.

§32. Le contenu exact (transcrit) de la menace.

انا ماشي منصوري ولا ليندة !                                                                                                           

انا حسابي معاك كبـــــير !

احرزي روحك !

اني نقولهالك : احرزي روحك !

§33. Le détail qui alourdit le poids délictuel de la menace.

De façon explicite, elle me menace en m’interdisant un certain comportement futur, en m’imposant un certain silence : Si j’écris contre elle comme j’ai écrit contre les deux personnes qu’elle cite Mme L. ABDERRAHIM et Mr Z. MANSOURI, elle me le fera payer. Ce fait aggrave d’autant plus ce qu’il y a de délictuel  dans la pratique de la menace.

§34. La dernière preuve  de la complicité délinquante du Recteur MEGHACHOU.

IL Y A DEUX MOIS QUE J’AI DEMANDE LA TRADUCTION DISCIPLINAIRE DE Mme CHIKH. QUANT AU RECTEUR MOURAD MEGHACHOU, APRES CETTE NOUVELLE DEMANDE ET SA DECISION DE L’ETOUFFER, D’ETOUFFER LA 7° DEMANDE DANS LA MEME SCANDALEUSE AFFAIRE, FORCE M’EST DE L’ACCUSER DE COMPLICITE DELINQUANTE CONTRE MA PERSONNE.

F. Tlemsani.


[1] Par rapport aux dizaines d’écrits que j’ai adressés à Mr BENZIANE, j’ai très très peu écrit  à Mr le Ministre d’alors, lequel a, par ailleurs et très peu de temps après, pris la tête d’un autre Ministère.

[2] Je défie Mr le Recteur de m’opposer que de tels actes ne relèvent pas d’une Commission paritaire siégeant en tant que Conseil de discipline.

[3] Le seul que j’ai pu enregistrer avant sa suppression.

[4] Selon certains amis qui ont écouté le message I : En se référant au MELH, Mme CHIKH peut laisser croire que j’étais presque une SDF en arrivant à SBA et qu’elle m’a nourrie !!!! Et dire que quand je l’ai connue, c’était une HCHICHA TALBA M3ICHA à laquelle j’ai offert mon amitié et de la considération !

Publicité
Publicité
Commentaires
Au Président de la République, Mr Abdelmadjid TEBBOUNE
Publicité
Archives
Publicité