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Au Président de la République, Mr Abdelmadjid TEBBOUNE
1 juin 2022

Le très faible niveau de la Thèse de Doctorat soutenue par Melle Hana BOUHARA (mai 2016).

Le 1° juin 2022

A l’intention de Monsieur le Ministre de la Justice.

Objet : L’incompétence académique de Melle Hana Bouhara (Suite 3)

………………………

XIV- Promesse de démolir ladite Thèse[1] si son auteure le demande.

En s’attaquant au principal questionnement formulé par la Thèse considérée,  la critique ci-dessous (XVI & XVII) touche au cœur même de cette dernière, à ce que celle-ci a d’essentiel. Ce faisant, et vu le jugement en terme d’« absurdité » qui en découle, elle suffit amplement à reconnaitre que le niveau de la Thèse soutenue par Melle BOUHARA est extremement bas.

Toutefois, il est important de souligner que ce qui suit (XVI & XVII), malgré toute sa profondeur et sa radicalité, ne représente qu’un grand détail si je compare avec toutes les critiques que je garde dans l’absolu silence. Si la demoiselle veut s’en assurer, il lui suffit de me faire signe pour que je lui promette de faire de sa Thèse :

La plus célèbre illustration de la dégringolade d'un certain doctorat algérien.

XV- Thèse certainement pire que médiocre, vu la nullité de l’article de l’Habilitation.

Etant donné qu’elle a été achevée et soutenue plus d’une année avant la publication de l’article publié pour l’Habilitation, et étant donné que ce dernier se distingue par une nullité dramatique[2], on peut, hyper-raisonnablement, prévoir que la Thèse en question est d’un niveau bien pire que médiocre.

XVI- Absurdité du principal questionnement fondant la Thèse.

Aux premières pages de sa Thèse et après l’Introduction, Melle BOUHARA formule deux questionnements qu’elle qualifie de généraux et dont elle dit, elle-même, qu’ils peuvent résumer toute sa problématique. Il en découle pour nous, en tant que lecteurs, le droit de souligner leur très haute importance au sein de ladite Thèse. Le premier des deux s’exprime en ces termes :

 « Est-ce que les niveaux de Burn out conduisent à l’apparition d’effets psychologiques et comportementaux chez les agents de la protection civile ? »

Par ailleurs, ce premier questionnement est manifestement le plus essentiel des deux. Autrement-dit, il se situe on ne peut plus au fondement de la Thèse, au centre de ce qui lui donne son sens.  Ceci étant, et étant donné qu’il est évident que le mot « niveaux » y est utilisé dans le sens de degré ou d’intensité, une lecture un peu plus attentive impose ce qui suit. Pour qu’un tel questionnement puisse avoir suffisamment de sens, mieux encore : pour qu’il puisse être assez audible tout simplement, il faudrait qu’on soit autorisé à en corriger la formulation. Pour ce faire, deux solutions s’offrent à nous. Voici une d’entre elles : 

« Est-ce que le Burn out conduit à l’apparition d’effets psychologiques et ……? ».

Le fond du problème est qu’il serait absurde qu’une telle question (dans cette formulation) se trouve au cœur de la Thèse, et la raison en est que cette dernière n’en traite pas. Pire encore, en traiter serait absurde étant donné que lesdits effets relèvent d’une donnée de départ, laquelle donnée se manifeste dès l’Introduction.

XVII- Incontournable absurdité du principal questionnement fondant la Thèse.

Si Melle BOUHARA tient à sauver le cœur de sa Thèse de Doctorat, il ne lui  reste alors qu’à nous laisser corriger son triste questionnement par la formulation suivante : « Est-ce que le Burn out conduit, quel que soit son niveau, à l’apparition d’effets psychologiques et …. ? »

Comme lesdits effets sont, naturellement, tous regrettables et nuisibles pour la santé de l’individu qui peut avoir à les vivre, il s’en suit ceci : A moins que la demoiselle nous fasse découvrir que le Burn out deviendrait bénéfique –tel un mal dont il faudrait encourager la propagation- à partir d’un certain seuil, ou à l’intérieur de tel ou tel intervalle, le plus raisonnable serait de poursuivre la rectification jusqu’à ceci :

« Est-ce que le Burn out, y compris à son plus faible niveau, conduit à l’apparition d’effets psychologiques et comportementaux ……? »

Alors que l’espoir était que nous avancions vers le sauvetage, une nouvelle difficulté surgit, et elle consiste dans le fait que la thèse ne contient nulle trace de nul traitement d’une pareille question. L’évidence est qu’il  est  absurde qu’un Travail académique ne tente pas la plus minuscule réponse à une question qu’il aurait placée en son centre. En outre, ce nouveau problème nous met d’autant plus face à une absurdité, que la demoiselle ne pourrait avoir tenté d’y répondre que si, d’abord, elle se trouve en capacité de nous faire découvrir quelle pourrait être la plus base intensité du Burn out.



[1] Titre de la Thèse considérée :

Les effets psychologiques et comportementaux (….) des niveaux de Burn out chez les agents de la protection civile: Etude de terrain effectuée auprès de la Direction de la Protection civile d’Annaba.

[2] Voir mes deux précédents papiers :

L'effarant article publié par Melle Hana BOUHARA pour l'Habilitation : Un massacre méthodologique du b.a.ba de la Méthode.

http://udlcrimacademic.canalblog.com/archives/2022/05/29/39497122.html

Pourquoi l'article d'Habilitation de Melle Hana BOUHARA est un Drame.

http://udlcrimacademic.canalblog.com/archives/2022/05/30/39497405.html

 

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