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Au Président de la République, Mr Abdelmadjid TEBBOUNE

7 novembre 2022

Mme Fatima BELHAOUARI de l’UDL, une femme voilée habitée par Satan

1. Introduction

Le 24.09.2022, la facebookeure Fatima Belhaouari, enseignante à l’Université Djilali Lyabès de SBA (UDL), publie un post par lequel elle agresse jusqu’à les trainer dans la boue, deux de ses collègues. De bout en bout, le Pr Mohammed Kheloufi et moi-même y sommes victimes de diffamations, de mensonges, de propos infamants et d’injures.

Etant un Monsieur doté d’énormes qualités, le Pr Kheloufi n’y a toujours pas réagi. Concrètement, alors qu’il en est scandalisé, il demeure gêné par le fait de la connaitre depuis de très longues années et d’avoir bien connu son défunt époux.  

Quant à moi, qui ne la connais que depuis quelques petites années et qui n’ai jamais entretenu d’amitié avec elle, j’ai eu l’extrême générosité de lui offrir une attente de quarante-quatre jours. 44 jours à faire semblant de ne rien voir et à attendre qu’elle retire son nauséabond post. Ceci étant, il est plus que grand temps d’y répondre. Je le ferai ci-dessous en me contentant d’un seul des quinze paragraphes[1] numérotés de 1 à 10 et formant l’infâmepublication : le n° 6.

2. Mme F. Belhaouari, une âme secrètement mauvaise

Mme Belhaouari y fait le vœu que le Pr Khalloufi et moi-même soyons atteints du CANCER. Et comme ceci ne lui suffisait pas, elle poursuit en me souhaitant le VEUVAGE en plus du cancer.

Comment se fait-il qu’un humain puisse souhaiter d’aussi tragiques malheurs pour un autre humain ? Plus grave : Comment peut-on souhaiter le cancer à un père dont le dernier enfant vient à peine d’entrer à l’école et dont l’avant-dernier est encore à la crèche ? Comment peut-on souhaiter le cancer et le veuvage à la mère d’un enfant qui reste encore bien plus proche du nourrisson que de l’adolescent ?

3. Mme F. Belhaouari, une âme pathologiquement mauvaise

En me souhaitant le veuvage, cette Dame souhaite la mort d’un homme qu’elle n’a jamais rencontré et qui n’avait pratiquement jamais entendu parler d’elle. Supposons que je l’ai privée d’un droit (diriger des mémoires de master en sciences de l’éducation), en quoi cet homme est-il responsable de cette privation ? Quel mal lui a fait cet homme dont elle espère la mort ?

Le plus répugnant est qu’en espérant cette mort, elle espère l’orphelinat y compris pour un enfant qui n’a pas encore fêté ses cinq ans.

4. Une pathologie au seuil du monstrueux

Que le père de jeunes enfants soit atteint du cancer, qu’un pur inconnu meure et qu’un enfant de quatre ans se retrouve orphelin de père et avec une mère cancéreuse ! Que tous ces malheurs se réalisent tout simplement parce que Mme Fatima BELHAOUARI n’a pas trouvé son nom parmi les encadreurs des mémoires de master en éducation !  

Tout cet amour du mal et toute cette passion maléfique chez une Dame qui ne perd pas un seul centime sur sa fiche de paie et qui est présente sur la liste des encadreurs de masters en psychologie.

5. L’invisible satanisme de Mme F. Belhaouari

Le pire de toute cette histoire est que notre Dame, en plus du fait qu'elle porte le Hudjab, fait tous ces répugnants vœux en priant Allah afin qu’il les réalise, qu’il les exauce. C’est ainsi que pour les deux cancers ainsi que pour la mort de mon époux et l’orphelinat qui s’en suit, elle insiste et se confirme par :

INCHAA ALLAH.

Par cette prière, ne pousse-t-elle pas le blasphème jusqu’à confondre entre Allah et Satan ? Son INCHAA Allah n’est-il pas, au fond, un :

INCHAA Al-CHAYTANE ?

Parallèlement à ce blasphématoire INCHAA ALLAH, c’est tout au long de l’écœurant post que notre Dame se montre comme une sainte de l’islam. C’est ainsi qu’à l’avant-dernier paragraphe, par exemple, elle nous apprend qu’elle a été purifiée par Allah. Purifiée contre ces êtres sales et corrompus[2] que seraient le Pr Kheloufi et moi-même.  

6. Ame maléfique cachée derrière l’apparence d’une colossale foi  musulmane

J’étais certaine que la Dame allait supprimer son post au bout de quelques heures, un ou deux jours au maximum, et qu’elle allait profondément regretter son infamie. Aujourd’hui, 44 jours plus tard, alors qu’elle persiste et signe en le gardant, je ne peux plus ne pas en convenir :

Mme Fatima BELHAOUARI est un être profondément et invisiblement mauvais.

Quant à la très forte foi dont elle se targue, elle me fait penser à ce jugement que de nombreux occidentaux convertis à l’islam auraient porté après leur conversion :

« HEUREUSEMENT QUE J’AI CONNU L’ISLAM AVANT DE CONNAITRE LES MUSULMANS »



[1] Onze parmi ces quinze sont numérotés et deux portent le même numéro (4). Je compte deux paragraphes dans le 3° puisqu’on y trouve les propos 1 et 2.

[2] Voir dans ce même avant-dernier paragraphe le vide qu’elle invite le lecteur à remplir.

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22 juin 2022

Cessons le massacre de la Psychologie à l’UDL : Dernières nouvelles des casses universitaires dues à l’incompétente Hana BOUHARA

Le 22 juin 2022

A l’intention de Mr le Président de la CRUO

S/couvert de Mr le Recteur de l’UDL

S/couvert de Mr le Vice-recteur à la Pédagogie

S/couvert de Mr le Doyen de la faculté des SHS

S/couvert de Mr le Vice-doyen à la Pédagogie

……………….

Monsieur le Président de la CRUO,

J’ai l’honneur de vous adresser, ci-dessous, la présente malheureuse confirmation de ce que je viens à peine de vous adresser sous le titre :

Pour Mr le Président de la CRUO et Recteur d’Oran-2.

Et qui résume les trois courtes publications:

Le très faible niveau de la Thèse de Doctorat soutenue par Melle Hana BOUHARA (mai 2016).

L'effarant article publié par Melle Hana BOUHARA pour l'Habilitation : Un massacre méthodologique du b.a.ba de la Méthode

La lourde illégalité de l’Habilitation offerte à la psychologue Hana BOUHARA, ajoutée à l'incompétence.

Veuillez agréer, Monsieur le Président, l'expression de mes salutations distinguées.

……………………….

I- Obtenir le master avec une "MAHZALA" déguisée en mémoire de fin d'études.

La formation des psychologues à l’Université Djilali Liabès (UDL) est, en grande partie, un massacre académique et un Mounkar commis contre l’Algérie. C’est une question -après un long silence que j’ai imposé à ma conscience- sur laquelle je me suis déjà longuement exprimée quand je dénonçais, par exemple, la mascarade déguisée en Formation doctorale (Psychologie) entamée en 2019-2020.   

Maintenant, à la faculté des sciences humaines et sociales de l’UDL, en Psychologie, parmi ceux non encore soutenus pour cette année 2021-2022, un mémoire de Master vient d’être refusé par un membre du Jury de soutenance.

Comme il est exceptionnellement exceptionnel qu’on ose refuser un mémoire ou une thèse en Algérie, et comme l’UDL est la championne des pires travaux dirigés et soutenus en Psychologie, il en découle que le mémoire en question est bien pire qu’un travail de faible niveau (pour un master). Pour en donner une idée, voici le titre du rapport contenant le refus :

A PROPOS DE LA MAHZALA D'UN MEMOIRE DE MASTER

Par ailleurs, j’ai lu ledit rapport et je peux dire ceci : Ce qui en ressort le plus est l'effarante incompétence de l'enseignante qui a encadré le travail.

II- Un étudiant victime d’une enseignante on ne peut plus incompétente

L’étudiant est donc beaucoup plus victime que coupable. Il est directement victime de l’enseignante qui a dirigé son mémoire. Il est certainement arrivé que des enseignants compétents dirigent et fassent soutenir des travaux d’un niveau révoltant. Ces enseignants ont pu agir ainsi pour une raison ou une autre, et l’essentiel est qu’ils ont la capacité de diriger de bons travaux, et même de très bons.

Mais le cas présent est tout autre et bien plus grave : Il s’agit de Melle BOUHARA, cette maitre de conférences habilitée qui n’a même pas le niveau d’une titulaire d’un bon magister.

Le plus grave : Cette demoiselle dirige des thèses de doctorat alors qu’elle vient de prouver –encore une fois !- qu’elle est loin d’avoir les compétences pour diriger des mémoires de master, des mémoires qui soient à peine soutenables. 

Je tiens à préciser que je ne suis pas l’auteure de ce refus et que j’ai cessé d’encadrer en Psychologie (prenant tous mes encadrements en Sciences de l’éducation) pour éviter, autant que possible, de participer au Mounkar que je dénonce. L’auteure du refus, notre collègue Nassima REMMAS, compte parmi nos meilleurs enseignants en Psycho.

III- Arrêtons d'encourager el Mounkar

Alors que leur devoir était de profiter de ce refus en en faisant une mise en garde pour les années à venir, une mise en garde au profit d’un petit pas en sens opposé à la poursuite du massacre de la formation des psychologues à l’UDL, des responsables au sein du département ont prié Mme REMMAS de retirer son rapport, de taire l’affaire et de laisser soutenir ce mémoire scandaleusement insuffisant. 

De plus, il y a à peine quelques jours, un autre collègue a été prié de se taire dans une autre casse, une casse commise, elle aussi, par la même Hana BOUHARA et à l'occasion, encore, d'une soutenance de master.

Enfin, en l'espace de quelques jours à peine, et dans une 3° soutenance, la meme Demoiselle s'est ridiculisée par les propos qu'elle a tenus alors que la parole lui était donnée en tant que membre du Jury.  

IV- PRIERE

Que Mme Nassima REMMAS veille à ce que son rapport soit respecté, et que Mr Y. HEBAL et Mr A. CHALABI veillent à ce que le mémoire en question ne soit soutenu qu'une fois qu'il aura atteint un minimum dans le niveau recquis. Qu'ils veillent à ce qu'on ne revive pas la mascarde d'il y a deux ans :

Celle de la honteuse soutenance d'un mémoire refusé et de la scandaleuse mise sous silence de cas de plagiat !

 Fatima TLEMSANI

 

13 juin 2022

Pour Mr le Président de la CRUO et Recteur d’Oran-2.

20 juin 2022

 L’historique Habilitation délivrée par Oran-2 à la psychologue Hana BOUHARA

………………………

A- Introduction

Le présent écrit n'adresse aucun reproche au Département de Psychologie d’Oran-2, un Département où plusieurs collègues ont mon estime et ma considération.

Melle Hana BOUHARA, Maitre de conférences ‘A’ en psychologie du travail et des organisations (UDL), a obtenu son habilitation après y avoir candidaté avec un dossier académique scandaleusement caractérisé par les trois gigantesques failles dénoncées dans les trois courts écrits que je résume ci-dessous :

B- Une thèse de Doctorat de valeur inférieure à un bon mémoire de Magister.

Le très faible niveau de la Thèse de Doctorat soutenue par Melle Hana BOUHARA (mai 2016).

Est divisé en quatre sections dont les titres sont :

XIV- Promesse de démolir ladite Thèse[1] si son auteure le demande.

XV- Thèse certainement pire que médiocre, vu la nullité de l’article de l’Habilitation.

XVI- Absurdité du principal questionnement fondant la Thèse.

XVII- Incontournable absurdité du principal questionnement fondant la Thèse.

Cet écrit commence par préciser (XIV) que tout en attaquant le cœur même de la Thèse, son contenu n’est qu’un grand détail comparé à toutes les critiques que je garde dans l’absolu silence. Avec un titre aussi expressif, la section XIV se termine en promettant à la concernée qu’il lui suffira de me faire signe pour que je fasse de sa Thèse :

La plus célèbre illustration de la dégringolade d’un certain doctorat algérien.

C- Un article ne prouvant que l’incompétence académique de son auteure.

L'effarant article publié par Melle Hana BOUHARA pour l'Habilitation : Un massacre méthodologique du b.a.ba de la Méthode

Confirmant l’extrême pauvreté de la Thèse et doté d’un titre très largement expressif, ce papier se divise en cinq courtes sections dont voici les titres des quatre premières :

VII- De la journaliste d’exception (?) à l’effarant article publié pour l’habilitation

VIII- Effrayante confusion entre données et résultats.

IX- De contradiction en sur-contradiction : La recherche académique devenue jeu du Yoyo.

X- Un chef-d’œuvre dans le Confusionnisme : Une chercheure prouvant sa criante inaptitude à la Recherche académique.

Quant à la 5° et dernière section, voici son titre et son contenu :

XI- Note supplémentaire

Ce massacre du b.a.ba de la méthode n’est qu’un des massacres académiques commis dans cet article publié par Melle Hana Bouhara pour l’obtention de l’habilitation à diriger des travaux de recherche. Si son auteure veut une critique bien plus destructrice, il lui suffira de me faire signe.

D- Une Habilitation que le respect du Droit aurait exigé d’annuler.

La lourde illégalité de l’Habilitation offerte à la psychologue Hana BOUHARA, ajoutée à l'incompétence.

Est un écrit contenant cinq sections, lui aussi :

XXXIX- Diriger toute une formation doctorale dès l’obtention de l’effrayante habilitation.

XXXX- L’incontestable illégalité de l’Habilitation obtenue par Melle BOUHARA.

XXXXI- Le caractère essentiel de la condition non-respectée.

XXXXII- Le pire de l’illégalité : arriver au sommet le plus vite et sans nul mérite.

XXXXIII- Le pire dans cette aveuglante ambition.

J’y explique que :   1) Melle BOUHARA n’a pas pu tenter d’être cheffe de toute une formation doctorale dès la session suivant l’historique soutenance de sa scandaleuse habilitation, parce que l’Université Oran-2 ne lui a remis l’attestation de réussite qu’après de longs mois. 2) Oran-2 a ainsi agi après avoir découvert que l’habilitée a candidaté huit mois avant la 1° session légale pour son cas (septembre 2018 au lieu de  janvier 2018).  3) Ces huit mois gagnés (contre l’expérience professionnelle) ont piétiné une condition essentielle puisque l’Habilitation permet surtout de passer à un grade supérieur dans la fonction d’enseignant-chercheur.    

J’y ai ajouté une Aveuglante Ambition d’arriver au plus haut, le plus vite et sans nul mérite : 4) Melle BOUHARA a déposé huit mois avant la 1° session légale, en parfaite connaissance de l’illégalité et dans l’espoir de tromper la vigilance ou la confiance d’Oran-2.    5) Elle a réussi à obtenir le Doctorat ‘En science’ moins de quatre ans après avoir obtenu le Magister, et ce, avec une Thèse au contenu scandaleusement médiocre.  6) Véritable Exploit vu que le Doctorat ‘En science’ s’obtenait souvent au bout de bien plus de six ans, voire dix ans et plus, dans les filières des SHS.   

E- Résumé du présent écrit

La ‘chanceuse’ Melle BOUHARA a réussi à candidater au très haut diplôme de l’Habilitation avec :

1) Une Thèse de Doctorat tout juste bonne pour etre soutenue en tant que médiocre mémoire de Magister. 

2) Un article qui ne prouve que la flagrante incompétence académique de son auteure.

3) Un piétinement de la si importante condition liée à l’expérience professionnelle.

 Fatima Tlemsani


[1] Titre de la Thèse considérée :

Les effets psychologiques et comportementaux (….) des niveaux de Burn out chez les agents de la protection civile.

Etude de terrain effectuée auprès de la Direction de la Protection civile d’Annaba.

11 juin 2022

La lourde illégalité de l’Habilitation offerte à la psychologue Hana BOUHARA, ajoutée à l'incompétence.

Le 17 juin 2022

A l’intention de Monsieur le Ministre de la Justice. 

Objet : L’incompétence académique de Melle Hana Bouhara (Suite 9) 

……………………………..

XXXIX- Diriger toute une formation doctorale dès l’obtention de l’effrayante habilitation

Melle BOUHARA n’a pas pu réaliser ce rêve (impudique et trahissant son Jury d’habilitation)[1] parce que l’Université d’Oran-2 a attendu plusieurs mois avant de lui délivrer l’attestation de réussite à l’habilitation. 

XXXX- L’incontestable illégalité de l’Habilitation obtenue par Melle BOUHARA.

L’Université d’Oran-2 a attendu aussi longtemps avant de remettre cette attestation d’habilitation parce qu’elle s’est rendue compte, après la soutenance, que cette dernière est illégale. Illégale au vu des trois années d’expérience dans la fonction d’enseignant-chercheur que la règlementation exige de tout candidat à l’Habilitation. La Demoiselle a déposé son dossier à la session de janvier alors qu’elle ne devait le faire qu'à partir de celle de septembre (donc huit mois plus tard).

Le strict respect de la norme juridique aurait exigé l’annulation de la soutenance et le dépôt d’une nouvelle candidature, mais l’université concernée a opté pour cette singulière mesure en guise de réparation de l’illégalité.

XXXXI- Le caractère essentiel de la condition non-respectée.

Vu que l’Habilitation est très différente d’un 2° doctorat (2° thèse), et vu qu’elle offre surtout un grade supérieur dans la fonction d’enseignant-chercheur, on ne peut pas ne pas comprendre le caractère essentiel de la condition imposée aux candidats en matière de durée minimale dans l’exercice de cette même fonction. C’est la violation de cette condition qui constitue l’illégalité contenue dans l’Habilitation délivrée à Melle BOUHARA.

XXXXII- Le pire de l’illégalité : arriver au sommet le plus vite et sans nul mérite.

Etre habilitée à 30 ans, un âge particulièrement jeune par rapport à l’âge moyen pour les docteurs ‘En science’ (ce qui est son cas), on aurait pu s’en réjouir si ce n’était pas un diplôme atteint  avec un niveau scandaleusement faible. En outre, il n’y a nul doute sur le fait que la demoiselle connaissait parfaitement l’exigence des trois ans qu’elle a piétinée dans l’espoir de tromper la vigilance ou la confiance d’Oran-2.    

Autre preuve de cette aveuglante ambition : Alors que les thèses ‘En sciences’ se soutenaient le plus souvent après six ans et bien plus, Melle BOUHARA a soutenu la sienne avant même de finir la 4° année[2]. Plus exceptionnel encore, elle a été Docteure moins de 4 ans après l’obtention du Magister. Le moins que l’on puisse dire : Un Exploit.

XXXXIII- Le pire dans cette aveuglante ambition.

Melle BOUHARA a candidaté au très haut diplôme de l’Habilitation avec :

1) Une Thèse de Doctorat n’ayant même pas la valeur d’un bon mémoire de Magister.  

2) Un article qui ne prouve qu’une flagrante incompétence académique.

3) Un piétinement de la si importante condition en matière d’expérience professionnelle.

Fatima Tlemsani


[2] Le minimum réglementaire pour les Doctorats ‘En sciences’ était de 4 ans, et ces Thèses se soutenaient souvent au-delà de six ans (surtout en SHS), voire au-delà de dix ans.

9 juin 2022

Une des TRAHISONS par lesquelles la psychologue Hana BOUHARA a remercié le Jury qui lui a OFFERT l’Habilitation.

Le 9 juin 2022

A l’intention de Monsieur le Ministre de la Justice. 

Objet : L’incompétence académique de Melle Hana Bouhara (Suite 8) 

………….............

XXXV- Rappel de la condition imposée par le Jury avant la signature du PV.

Nous[1] avons offert l’Habilitation à Melle BOUHARA en étant surs qu'elle allait cesser de se prendre pour Aristote et qu’elle attendrait de très longues années avant d’oser s’approcher de la moindre Formation doctorale, et ce, car nous n’avons signé le PV qu’après lui avoir signifié (tout en veillant à ne pas l’humilier devant ses invités et ses proches) son énorme incompétence.

Mieux encore, quand elle a osé (par excès d’impudeur ou d’inconscience) parler de déposer un projet de formation doctorale, le Jury (par la voix du Président) l’a remise à sa place en lui demandant[2] de ne plus y penser. Une telle remise à sa place signifiait clairement une condition imposée avant la signature du PV, et la candidate –qui savait que son habilitation était encore entre nos mains- ne pouvait que s’y soumettre sans brancher.

XXXVI- Première Trahison.

Dès les lendemains de notre signature et alors que son attestation de réussite n’était même pas prête à être signée, la demoiselle s’est mise à se préparer à être la patronne de toute une formation doctorale, elle qui n’atteignait même pas le niveau d’une bonne titulaire de Magister.

XXXVII- Seconde Trahison.

Comme une raison des plus particulières l’a empêchée de mener à  son terme cette 1° Trahison, elle a poursuivi par une 2°. Dès qu’elle a compris que ladite raison allait l’empêcher de réaliser cette ambition terriblement impudique, au moins dans l’immédiat, elle est entrée dans un comité de formation doctorale. Et ainsi, elle finit très tôt par diriger des Thèses de doctorat. Faut-il beaucoup plus pour qu’on ait le droit de parler de Crime académique ?

XXXVIII- Une différence entre Melle BOUHARA et Mr HABAL

Comme Mr Yacine HABAL (UDL) est le patron de cette formation dans laquelle Melle BOUHARA dirige des Thèses, le devoir moral m’impose de souligner la différence entre les deux. Les deux sont des docteurs habilités, mais :

1) Mr HABAL s’exprime et écrit sur peu de thématiques (ceci est à son honneur), et il possède des compétences dans sa spécialité.

2) Melle BOUHARA parle et écrit comme si elle était l’Aristote de notre XXI° siècle, alors qu’elle est incompétente y compris dans sa propre spécialité.

3) Le principal défaut de Mr HABAL provient d'une partie de son entourage professionnel, et Melle BOUHARA y a une grande place.

Fatima Tlemsani


[1] Le Jury composé de notre regretté Prof Mokhtar YOUB (Oran-2), de Oustadi Abdelkader BELAABED (Oran-2) et de moi-même.

[2] En lui exigeant de façon polie. Pour plus de détails, voir en particulier :

http://udlcrimacademic.canalblog.com/archives/2022/06/08/39509562.html

 

 

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8 juin 2022

L’impudique ou inconscient projet annoncé par Melle Hana BOUHARA au terme de sa soutenance d’Habilitation.

Le 8 juin 2022

A l’intention de Monsieur le Ministre de la Justice. 

Objet : L’incompétence académique de Melle Hana Bouhara (Suite 7) 

……………………

XXIX- Comble de l’impudeur ou de l’inconscience ?

Au terme de la soutenance, le Jury[1]avait tout pour être sur que l’extrême dureté des jugements qu’il venait de prononcer sur son très faible niveau allait marquer pour longtemps la demoiselle (Bouhara) à laquelle il allait délivrer le très haut diplôme de l’Habilitation. Autrement-dit, il avait tout pour être sur qu’elle arrêtera de se prendre pour Aristote et qu’elle s’occupera surtout de lutter contre sa colossale incompétence.

Toutefois, alors que le Président lui a demandé quels étaient ses projets maintenant qu’elle allait sortir avec l’habilitation en poche, elle nous a effrayés en répondant qu’elle allait déposer (sitôt la procédure ouverte) un projet de Formation doctorale. Ceci signifie qu’une demoiselle qui n’avait même pas le niveau d’une bonne titulaire d’un simple magister allait diriger des doctorants –et plus encore : toute une formation doctorale.

XXX- L’hyper-violence que je me suis faite pour ne pas réagir.

A ce moment précis, face à tant d’impudeur ou d’inconscience, c’est une guerre que je me suis livrée pour ne pas me lever et m’écrier :

Vu que vous n’avez aucune limite, et vu que vous n’avez aucune considération ni pour les gants que le Jury s’est mis afin de ne pas vous humilier devant l’assistance et vos invités, ni pour le colossal prix que votre soutenance coute à nos trois consciences, sachez que désormais :

1) JE M’OPPOSE A CE QUE CETTE HABILITATION VOUS SOIT DELIVREE !

2) Je rendrai public l’extrême nullité de votre niveau académique, s’il le faut ! 

XXXI- La réaction instantanée du Président du Jury.

Je ne me suis pas levée pour m'opposer à la délivrance de cette Habilitation aussi parce que le Président du jury a instantanément repris la parole en lui demandant de cesser de penser au moindre projet de formation doctorale et de comprendre que c’était l’intérêt de l’Université qui exigeait qu’elle cesse d’y penser.

Après ce dernier point mis sur les I, nous n’avions plus nul doute sur le fait que la candidate avait bien compris combien elle ne méritait pas cette habilitation, et nous pouvions être certains que le minimum de pudeur allait l’obliger à s’éloigner de toute formation doctorale, au moins durant de longues années.

 Fatima Tlemsani


[1] Le jury était composé de notre très regretté Prof Mokhtar YOUB, de Oustadi Abdelkader BELAABED, tous deux d’Oran-2, et de moi-même.

2 juin 2022

Habilitation délivrée par collégialité pour les experts et par pure humanité pour la candidate : A la mémoire du Pr Mokhtar YOUB

Le 2 juin 2022

A l’intention de Monsieur le Ministre de la Justice.

Objet : L’incompétence académique de Melle Hana Bouhara (Suite 4)

……………………

XVIII- Les raisons d’être des explications ci-dessous.

Alors que Melle Hana BOUHARA est plus que Docteure puisqu’elle est Habilitée, mes quatre précédents papiers publiés sur Canalblog (les trois derniers plus ouvertement que le premier) montrent qu’elle ne possède même pas le minimum des compétences requises pour le doctorat. Ce paradoxe m’impose les explications qui suivent, et ce, ne serait-ce que pour la mémoire du Président du Jury qui a délivré cette habilitation, notre très regretté Professeur Mokhtar YOUB.

Afin de dire combien je considère le Pr Mokhtar YOUB comme un exemple de mérite et de probité, je tiens à préciser, sans plus tarder, que j’ai été membre de ce Jury qui a décerné cette habilitation malgré la très faible compétence de la candidate. 

XIX- Soutenance scandaleuse dès l’ouverture faite par le Président du Jury.

On ne peut pas imaginer qu’une soutenance s’entame par un Président qui, alors qu’il donne la parole à la candidate afin qu’elle entame l’exposé de son travail, exprime implicitement ceci :

Vous avez la parole pour nous exposer votre travail.

Votre travail qui est d’un niveau trop insuffisant pour mériter l’habilitation !

C’est ce que le Pr YOUB a incontestablement dit quand il a dit ceci :

« Votre soutenance et notre présence ici sont inutiles vu que les experts vous ont donné un avis positif ! »

Ou (plus explicitement encore) ceci :

« Il faudrait qu’on cesse de nous faire venir pour des soutenances pareilles !

L’avis positif des experts devrait suffire ! » 

XX- Compléments sur cette ‘scandaleuse’ ouverture.

Cette ouverture est d’autant plus ‘scandaleuse’ qu’elle signifie ceci :

Vous n’avez pas le niveau pour accéder à l’Habilitation, mais nous allons vous l’accorder et je vous l’annonce avant même que vous n’entamiez votre soutenance !

Il est essentiel de dire que c’est au nom de tout le Jury que notre regretté Professeur s’est ainsi exprimé. Mais on peut ajouter ceci : Qu’une position commune aussi dure ait pu être exprimée par un Universitaire aussi gentil, aussi tolérant et aussi discret que feu le Pr Mokhtar YOUB, suffit à donner une image de l’ampleur de l’incompétence.

Enfin, ce jugement commun exprime cette double position : 1) Un choc dû  aux rapports d’expertise qui, étant positifs, jugeaient qu’on a le droit d’accéder à l’habilitation malgré une incompétence aussi flagrante. 2) Un sentiment de collégialité qui nous dictait de ne pas mettre en difficulté les auteurs de ces rapports, ce que nous aurions fait en refusant l’habilitation à Melle BOUHARA.  

 

 Fatima Tlemsani


1 juin 2022

Le très faible niveau de la Thèse de Doctorat soutenue par Melle Hana BOUHARA (mai 2016).

Le 1° juin 2022

A l’intention de Monsieur le Ministre de la Justice.

Objet : L’incompétence académique de Melle Hana Bouhara (Suite 3)

………………………

XIV- Promesse de démolir ladite Thèse[1] si son auteure le demande.

En s’attaquant au principal questionnement formulé par la Thèse considérée,  la critique ci-dessous (XVI & XVII) touche au cœur même de cette dernière, à ce que celle-ci a d’essentiel. Ce faisant, et vu le jugement en terme d’« absurdité » qui en découle, elle suffit amplement à reconnaitre que le niveau de la Thèse soutenue par Melle BOUHARA est extremement bas.

Toutefois, il est important de souligner que ce qui suit (XVI & XVII), malgré toute sa profondeur et sa radicalité, ne représente qu’un grand détail si je compare avec toutes les critiques que je garde dans l’absolu silence. Si la demoiselle veut s’en assurer, il lui suffit de me faire signe pour que je lui promette de faire de sa Thèse :

La plus célèbre illustration de la dégringolade d'un certain doctorat algérien.

XV- Thèse certainement pire que médiocre, vu la nullité de l’article de l’Habilitation.

Etant donné qu’elle a été achevée et soutenue plus d’une année avant la publication de l’article publié pour l’Habilitation, et étant donné que ce dernier se distingue par une nullité dramatique[2], on peut, hyper-raisonnablement, prévoir que la Thèse en question est d’un niveau bien pire que médiocre.

XVI- Absurdité du principal questionnement fondant la Thèse.

Aux premières pages de sa Thèse et après l’Introduction, Melle BOUHARA formule deux questionnements qu’elle qualifie de généraux et dont elle dit, elle-même, qu’ils peuvent résumer toute sa problématique. Il en découle pour nous, en tant que lecteurs, le droit de souligner leur très haute importance au sein de ladite Thèse. Le premier des deux s’exprime en ces termes :

 « Est-ce que les niveaux de Burn out conduisent à l’apparition d’effets psychologiques et comportementaux chez les agents de la protection civile ? »

Par ailleurs, ce premier questionnement est manifestement le plus essentiel des deux. Autrement-dit, il se situe on ne peut plus au fondement de la Thèse, au centre de ce qui lui donne son sens.  Ceci étant, et étant donné qu’il est évident que le mot « niveaux » y est utilisé dans le sens de degré ou d’intensité, une lecture un peu plus attentive impose ce qui suit. Pour qu’un tel questionnement puisse avoir suffisamment de sens, mieux encore : pour qu’il puisse être assez audible tout simplement, il faudrait qu’on soit autorisé à en corriger la formulation. Pour ce faire, deux solutions s’offrent à nous. Voici une d’entre elles : 

« Est-ce que le Burn out conduit à l’apparition d’effets psychologiques et ……? ».

Le fond du problème est qu’il serait absurde qu’une telle question (dans cette formulation) se trouve au cœur de la Thèse, et la raison en est que cette dernière n’en traite pas. Pire encore, en traiter serait absurde étant donné que lesdits effets relèvent d’une donnée de départ, laquelle donnée se manifeste dès l’Introduction.

XVII- Incontournable absurdité du principal questionnement fondant la Thèse.

Si Melle BOUHARA tient à sauver le cœur de sa Thèse de Doctorat, il ne lui  reste alors qu’à nous laisser corriger son triste questionnement par la formulation suivante : « Est-ce que le Burn out conduit, quel que soit son niveau, à l’apparition d’effets psychologiques et …. ? »

Comme lesdits effets sont, naturellement, tous regrettables et nuisibles pour la santé de l’individu qui peut avoir à les vivre, il s’en suit ceci : A moins que la demoiselle nous fasse découvrir que le Burn out deviendrait bénéfique –tel un mal dont il faudrait encourager la propagation- à partir d’un certain seuil, ou à l’intérieur de tel ou tel intervalle, le plus raisonnable serait de poursuivre la rectification jusqu’à ceci :

« Est-ce que le Burn out, y compris à son plus faible niveau, conduit à l’apparition d’effets psychologiques et comportementaux ……? »

Alors que l’espoir était que nous avancions vers le sauvetage, une nouvelle difficulté surgit, et elle consiste dans le fait que la thèse ne contient nulle trace de nul traitement d’une pareille question. L’évidence est qu’il  est  absurde qu’un Travail académique ne tente pas la plus minuscule réponse à une question qu’il aurait placée en son centre. En outre, ce nouveau problème nous met d’autant plus face à une absurdité, que la demoiselle ne pourrait avoir tenté d’y répondre que si, d’abord, elle se trouve en capacité de nous faire découvrir quelle pourrait être la plus base intensité du Burn out.



[1] Titre de la Thèse considérée :

Les effets psychologiques et comportementaux (….) des niveaux de Burn out chez les agents de la protection civile: Etude de terrain effectuée auprès de la Direction de la Protection civile d’Annaba.

[2] Voir mes deux précédents papiers :

L'effarant article publié par Melle Hana BOUHARA pour l'Habilitation : Un massacre méthodologique du b.a.ba de la Méthode.

http://udlcrimacademic.canalblog.com/archives/2022/05/29/39497122.html

Pourquoi l'article d'Habilitation de Melle Hana BOUHARA est un Drame.

http://udlcrimacademic.canalblog.com/archives/2022/05/30/39497405.html

 

30 mai 2022

Pourquoi l’article d’Habilitation de Melle Hana BOUHARA est un Drame.

30 mai 2022.

A l’intention de Monsieur le Ministre de la Justice.

Objet : L’incompétence académique de Melle Hana Bouhara (Suite 2)

……….......

X- L’article est un drame car, d’abord, il se distingue par :

1) Un massacre méthodologique indigne d’être autorisé dans un mémoire de licence de trois ans.

2) Un massacre qui, tel que décrit dans mon papier d’hier[1], n’est (de plus) qu’une partie de tout le massacre académique que ledit article commet.

XI- L’article est un drame car, ensuite, il a été publié par :

3) Une Maitre de conférences.

4) Une enseignante universitaire qui a eu à assurer des cours Magistraux de Méthodologie.

5) Une chercheure qui –selon son CV- était tellement une haute spécialiste en Méthodologie, aussi,  qu’elle avait déjà exposé des travaux (lors de colloques) portant sur :

« La méthodologie des études Littéraires »

« La méthodologie du Sport »

« La méthodologie de l’Education Civique »

XII- L’article est un drame car, enfin et surtout, il a permis à son auteure :

4) D’obtenir l’habilitation.

5) De commencer, dès l’habilitation en poche, à diriger des Thèses de Doctorat [alors qu'au vu de l'extreme faiblesse de son propre niveau académique, l'Ethique minimale lui imposait d'attendre de longues années avant d'oser le faire].

XIII- La non-exhaustivité de ces 5 détails qui font de l’article : Un Drame. 

Ce qu’il y a de dramatique dans cet article ne se réduit absolument pas aux cinq détails résumés dans le présent papier. Si Melle Bouhara en veut plus, je suis prête à lui en donner.

 Fatima Tlemsani


[1] L’effarant article publié par Melle Hana Bouhara l’Habilitation : Un massacre méthodologique du b.a.ba de la Méthode. http://udlcrimacademic.canalblog.com/archives/2022/05/29/39497122.html

 

 

29 mai 2022

L'effarant article publié par Melle Hana BOUHARA pour l'Habilitation : Un massacre méthodologique du b.a.ba de la Méthode

29 mai 2022

A l’intention de Monsieur le Ministre de la Justice.

Objet : L’incompétence académique de Melle Hana Bouhara (Suite 1)

…………………..

VII- De la journaliste d’exception à l’effarant article publié pour l’habilitation

Dans le papier publié il y a quatre jours[1], j’ai pu laisser croire que tout en étant indiscutablement incompétente pour enseigner en doctorat et pour diriger des thèses, Melle BOUHARA serait d’une très vaste culture et aurait pu être une journaliste d’exception. Si des lecteurs ont pu comprendre ceci, je m’en excuse, et ce, en considérant l’article portant le titre de :

Etude des causes de la commission des accidents de la route (juin 2017).

Alors que la publication est la plus importante de la Demoiselle (à ce jour) vu qu’elle lui a permis d’atteindre son plus haut grade actuel, on peut être certain de ceci : Sur ce même thème, des milliers de nos journalistes algériens –et parmi eux, un grand nombre de non-bacheliers parmi nos valeureux anciens- auraient pu publier un article d’un bien plus haut niveau.

VIII- Effrayante confusion entre données et résultats.

Dans le résumé qui se situe en tête de l’article, les causes des accidents de la route, quant à leur identification, constituent le but de l’étude. Toutefois, aussi surprenant que cela puisse paraitre, dans  l’introduction qui se place tout juste après, ils se trouvent, tout au contraire, au cœur des données de départ. Autrement-dit, après avoir été annoncés comme résultats dans le résumé, ils se transforment en données dès les premières lignes de l’article.

IX- De contradiction en sur-contradiction : La recherche académique devenue jeu du Yoyo.

Totalement inconsciente de cette faute qu’un bon étudiant en 1° année de licence ne devrait pas commettre, elle récidive en renforçant cet intenable paradoxe entre Résumé et Introduction par ceci : Alors qu’on vient tout juste de lire dans la Problématique : « Sachant que ces accidents sont dus au facteur humain à 87%, et à l’état des véhicules, des routes et de l’environnement à 12,45% »[2], on découvre –on ne peut plus choqué- que l’objet de l’article consiste à savoir si lesdits facteurs, précisément, jouent un quelconque rôle dans lesdits accidents. 

X- Un chef-d’œuvre dans le Confusionnisme : Une chercheure prouvant sa criante inaptitude à la recherche académique.

Poursuivons en oubliant la criante opposition Résumé/Introduction. Après avoir contredit sa propre Problématique en passant aux Questions de l’étude, la Demoiselle poursuit en contredisant cette dernière section, et ce, en confirmant la Problématique qu’elle vient à peine de contredire. C’est ce qu’elle fait dans Le cadre théorique de l’étude.

Maintenant, et après avoir réaffirmé que son enquête cherche à savoir si tel ou tel des trois facteurs « psychologique /comportemental », « environnemental /technique »  et « culturel /sensibilisation » se trouve à la source des accidents de la route, elle détaille chacun d’eux en le décomposant en une série de sous-facteurs et en affirmant que ces derniers sont les causes effectives des accidents en question. Ce faisant, elle  pousse le détail, la certitude et la précision jusqu‘à affirmer, par exemple, que le non-respect des signaux de circulation (panneaux de signalisation) compte pour 10,82 % dans les causes desdits accidents.

Il faut bien comprendre qu’elle projette toute cette lumière en citant, exclusivement, des travaux dans lesquels elle n’a pris aucune part[3] –et qui ont été, d’ailleurs, tous publiés avant qu’elle-même ne commence à s’intéresser au sujet.

Ensuite, ne reculant devant rien, elle poursuit en se reniant à nouveau lorsqu’elle entre dans le vif de l’article, l’enquête de terrain qu’elle dit avoir effectuée. Chercheure dont la principale caractéristique est de parler de tellement de choses qu’elle ne parle, finalement, de rien, elle nous apprend, enfin, que ladite enquête nous fait découvrir les causes qu’elle venait, elle-même, d’exposer comme d’incontestables acquis de la connaissance « théorique ».

XI- Note supplémentaire

Ce massacre du b.a.ba de la méthode n’est qu’un des massacres académiques commis dans cet article publié par Melle Hana Bouhara pour l’obtention de l’habilitation à diriger des travaux de recherche. Si son auteure veut une critique bien plus destructrice, il lui suffira de me faire signe.

Fatima Tlemsani.


[1] Sur le CV académique avec lequel Melle Hana Bouhara a été Habilitée à enseigner et diriger des Thèses de Doctorat    http://udlcrimacademic.canalblog.com/archives/2022/05/25/39492627.html

[2] Je traduis de l’arabe après avoir rectifié l’arabe d’une auteure qui est une arabophone.

[3] De surcroit, il s’agit d’études concrètes, réalisées en Algérie et sur l’exemple algérien : deux articles, une thèse de doctorat et un mémoire de master.

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Au Président de la République, Mr Abdelmadjid TEBBOUNE
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