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Au Président de la République, Mr Abdelmadjid TEBBOUNE
29 décembre 2020

COMMISSION NOMMEE PAR LE RECTEUR MEGHACHOU POUR ENQUETER SUR LES FAITS DONT J’ACCUSE LE RECTEUR MEGHACHOU (et ses amis) !


 SERIE :

Autre plainte contre le Recteur Mourad MEGHACHOU : I

Sous-titre : Une impudeur atteignant le Burlesque.

Le 29 décembre 2020.

 

Pour Monsieur Le Premier Ministre

S/couvert de Mr Le Ministre de l’ESRS

S/couvert de Mr Le Président du Conseil d’Ethique du MESRS.

 

Monsieur le Premier Ministre,

Par l’écrit ci-dessous, j’ai l’honneur de vous informer que je dépose une seconde plainte à Mr le Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique contre le Recteur de l’Université de Sidi Bel Abbès, Mr Mourad MEGHACHOU.

Veuillez agréer, Monsieur Le Premier Ministre, l’expression de ma haute considération.

Mme Fatima TLEMSANI (UDL).


§1. Causes de mes publications : Du silence complice d’un Recteur au terrifiant mutisme du Ministre Abdelbaki BENZIANE.

1) J’ai d’abord, sans sortir de la faculté, fait de mon mieux afin que le Doyen M. MEDJAOUD et son équipe (dont les Psychologues, en particulier) cessent de faire passer –systématiquement et toujours !- leurs intérêts et leurs carrières personnelles au détriment de l’Institution et de la qualité de la formation. 2) Ensuite, ces gens ayant refusé de réduire leur nuisance et n’ayant pas saisi la perche que je leur tendais, j’ai saisi le Recteur MEGHACHOU par une série de courriers. 3) Enfin, Mr MEGHACHOU m’ayant prouvé qu’il est non seulement responsable de ce que je dénonçais, mais aussi complice, j’ai passé un long moment à écrire au Ministère de l’ESRS.  

Mais, le Ministre lui-même, Mr Abdelbaki BENZIANE, m’ayant opposé un terrifiant (et méprisant) silence, j’ai fini par comprendre que le duo MEGHACHOU-MEDJAOUD bénéficie d’une haute protection ministérielle. Et ce n’est qu’à ce moment, que j’ai entamé la collection de publications faites sur Canalblog[1] et qui, toutes, directement ou indirectement, montrent que derrière la très noble image de ‘’Meilleure université algérienne’’, l’université Djilali Liabès est surtout une institution dédiée à la gloire de la criminalité académique.

§2. Honteuse rupture d’un justiciable silence, après une 1° série de terrifiantes publications.

Après une première série de publications, les responsables sentant que je ne m’épuise pas et que le Feu commence à prendre, le si méprisant et si rassuré Recteur[2] est pris d’une humilité si soudaine qu’il sollicite, via un Collègue, une séance de travail avec moi. Je réponds que j’ai horreur de l’informel et que je n’agis qu’avec des écrits.

§3. Trois impudiques convocations adressées par le si complice Recteur, dans l’espoir de me voir cesser de publier. 

En parallèle, je poursuis par deux publications[3] encore plus fracassantes que les précédentes et qui débouchent sur la scandaleuse récidive de la délinquante et si médiocre Mme Fatiha CHIKH.

Voyant que cette récidive n’a fait qu’aggraver la situation, et ce, d’abord en me faisant publier sur des mascarades académiques que j’avais tues jusque-là, le Recteur MEGHACHOU –au lieu de commencer à faire le travail pour lequel il est payé- m’adresse trois convocations[4] à une réunion dont le seul but était de baratiner, d’arnaquer et de marchander afin : A) que j’arrête de dénoncer les scandaleuses affaires dans lesquels lui-meme brille par sa complicité, B) et que je retire mes demandes de poursuites disciplinaires contre les délinquants que lui-même a encouragés contre ma personne.

§4. La menace ministérielle, comme pour soutenir la menaçante Mme Fatiha CHIKH.

Voyant que même la menaçante Mme Fatiha CHIKH n’a pas réussi à me faire taire, et au lieu d’exiger que le Recteur -conformément à la Loi et au minimum d'Ethique- traduise cette délinquante devant l’Instance disciplinaire[5], le Ministre a fait bien plus qu’élargir son soutien jusqu’à cette scandaleuse universitaire. En effet, il est allé jusqu’à ce que son Directeur de l’Enseignement et de la Formation, Mr Boualem SAIDANI, se sente autorisé à me menacer !

§5. La Commission d’enquête administrative nommée par le principal accusé : L’impudeur atteignant le Burlesque.

A cette menace ministérielle, j’ai répondu par quatre publications où, tout en dénonçant le fait, j’ai mis au défi ledit Directeur Général de pouvoir débattre avec moi, écrit contre écrit, ne serait-ce que sur un seul de ce que j’ai qualifié de : 

CRIMES COMMIS PAR L’UNIVERSITE DJILALI LIABES CONTRE L’UNIVERSITE ALGERIENNE.

Suite à cette dernière étape, on a décidé  la mise sur pieds d’une structure nommée Commission d’enquête administrative et dont la mission déclarée est d’enquêter sur les si nombreuses affaires que j’ai qualifiées de ‘Crimes académiques’. Seulement, cette Commission est nommée par celui-là même que j’accuse d’être le principal responsable et principal complice de ces ‘Crimes’, en l’occurrence : Mr Mourad MEGHACHOU. Et c’est ici que l’excès d’Impudeur atteint le Burlesque !

  F. Tlemsani


[1] http://udlcrimacademic.canalblog.com/

Du 24 septembre au 17 novembre, j’ai publié 26 écrits où je montre cette profonde  vérité de l’UDL.

[2] Recteur qui n’avait même pas daigné la plus minuscule réponse à aucun de mes effrayants (par leur contenus) courriers.

http://udlcrimacademic.canalblog.com/archives/2020/10/17/38595728.html

[4] Je passe sur bien d’autres caractéristiques de ces si osées convocations (comme je passe sur la confusion entre convocation et invitation). 

[5] Raison pour laquelle j'avais (naturelement, en vain) sollicité son autorité de Ministre de tutelle Mme FATIHA CHIKH, PANIQUANT A L’IDEE QUE J’OUVRE SON SCANDALEUX DOSSIER, M’EN DISSUADE EN M’ADRESSANT DE GRAVES MENACES.

L'absence de toute réaction, y compris, à cette requete n'est qu'un détail dans tout ce qui explique que je ne m'adresse plus à Mr BENZIANE sans m'adresser à Mr Le Premier Ministre ! 

 

 

 

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